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by your side ϟ carbone [r18]

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Carbone
Carbone
COLONEL // PREDATOR
by your side ϟ carbone [r18] - Page 4 359331JARED
2016-03-02, 23:04

YOU'RE THE ARCHITECT OF MY NEW WORLD

carbone x hannibal

M U S I Q U E

J’ai la sensation de faire une chute libre sans début ni fin. L’adrénaline qui coule dans mes veines m’appelle à une sauvagerie dont je ne me doutais pas capable. Je serre les dents, relâche ma tête en arrière et fixe le plafond. Il est flou, aussi flou que les milliers de points qui convergent au coeur des mes pupilles. Tout ce qui m’entoure m’apparaît indistinct à l’exception de son visage. « Ne me fais plus jamais languir comme ça... » J’étouffe un rire coupable, peu sûr de pouvoir lui accorder un jour cette faveur.

Je glisse sur le carrelage au gré de ses vas et viens. J’ai le dos glacé et les entrailles brulantes. Ce contraste m’arrache des soupirs plus plaintifs les uns que les autres. Je ne me retiens pas, trop envoûté. Je devrais, par pudeur, mais je n’y arrive pas. Bientôt, ce sont des gémissements qui m’échappent.  

Mes mots peinent à sortir de manière intelligible. J’ai la voix grave, sourde. Je fonds de ce plaisir qu’il m’inflige.

Mh… Hannib-… Plus vi-…

Si je m’entendais, si je me voyais. C’est de sa faute. Il va finir par faire de moi un incube. Je suppose que c'est déjà fait. J’ondule à l'image d'un serpent, fais se mouvoir avec ardeur mes hanches. Je pourrais couler le long de son échine, l'engloutir de mes chairs, le dévorer corps et âme. Ses caresses à mon sexe me rendent fou. Cette chute n’a donc vraiment aucune fin ? Et je continue de glisser sur le sol vitreux. Mes cheveux forment une auréole étrange autour de moi. Entremêlés, éparpillés… À l’égal de mes émotions.

Je tente de me redresser, en vain. Mon extase me coupe à tout mouvement mesuré et je m’abandonne à ma complaisance. Je veux qu'il assume son titre, mon Roi. Je veux qu'il me gouverne. Plus il s’enfonce, plus je sens ma jouissance proche. Je cherche ses mains des miennes, le tire tout contre moi et me jette à ses lèvres. À qui l'habit de loup sied le plus ? Je l’embrasse avec une passion diabolique.

Sa langue est chaude, son souffle aussi court que le mien. Je mords ses lèvres et dévoile mes dents en un sourire amusé. Je plonge dans ses yeux, les accable de tout mon amour. Ai-je un jour connu semblable bonheur ? Je crains que non. Hannibal, que fais-tu donc de moi ? Sans rompre notre baiser, je glisse mes doigts dans sa chevelure, joue de ses mèches folles.

Ma gorge se noue. Ma faim gronde, hurle. Je vais jouir. Non, une petite minute encore. Jack, savoure, savoure tant que tu le peux. Je presse ses fesses, me cambre en arrière, l’invite à goûter les limites que mon intimité lui offre. Et merde, j'ai tellement chaud. Son membre m'électrise. J'ai des spasmes, les cuisses qui tremblent, la peau moite.

Hannibal...

Une plainte, un soupire. Je me crispe, mes ongles s'enfoncent dans son dos. Je n'ai plus la force de résister. Je jouis, m'épuise sur ses lèvres rongées de mes baisers. Je sens mon ventre se parer de tâches tièdes. Je sens le feu me monter aux joues. Je rougis, enfin conscient d'à quel point je me suis laissé aller, d'à quel point c'était bon. Ma cage thoracique se soulève si violemment que je frôle l'arrêt respiratoire.

La petite mort, douce et paisible, m'engourdit et je m'allonge lourdement contre le sol. Étrangement, je ne veux pas qu'il se retire. Le sentir en moi me plaît. C'est un plaisir plus lascif, qui relève plus du caprice que de la raison. Oh Jack...

Je frôle le contour de ses mâchoires, de son nez. J'attire son visage au plus près du mien, souffle sur ses cils. Mes lippes s'étirent de plus bel.

Une minute... Restons ainsi une minute de plus.

Je ferme les yeux, clos ma bouche à la sienne. Elle a un léger goût salé. Il est en sueur, au moins autant que je le suis. Je peux discerner les battements irréguliers de son coeur contre ma poitrine. Son odeur embaume mes sens. J'ai l'impression de flotter au dessus du monde, confortablement lové dans une bulle de sérénité absolue.

Lorsque je rouvre les yeux et que je me noie dans les siens, c'est ma malice que je retrouve.

Tu vas devoir me porter, tu m'as vidé de toute énergie.

J'étouffe un rire enfantin et appose à nouveau ma tête contre le carrelage. Ma respiration retrouve à peu près sa constance. Je songe à la situation, à nous, coupables amants, à Aurore, ingénue plantée devant la télévision. Mauvais père, t'es irrécupérable Jack.

Comment vais-je pouvoir réapparaître devant mademoiselle... Je suinte les phéromones. Même une douche ne suffirait pas à me ramener à la normale. Oh Hannibal, mon amour, tu fais de moi une drôle de pâte à modeler.
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Hannibal D-J Somerset
Hannibal D-J Somerset
FONDATEUR // CHEF DU NORD
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2016-03-03, 01:19

When I hold you in my arms I know I can't do no wrong now When I hold you in my arms My love can't do me no harm
musique – Tu en as la certitude désormais : tu n'as jamais fait l'amour de la sorte. Même avec Ellen, tu n'y avais jamais mis autant de passion à tel point que tu espérais évacuer dans tes entrailles toute la preuve de tes sentiments – si seulement il ne suffisait que de cela. Tu tombes au-dessus de lui, le dos déjà moite et tu plonges dans l'univers que t'offre ses yeux. On dirait une forêt, une gigantesque forêt. Tu t'y perds volontiers, tu y bâtis toute ta vie s'il le faut. Il murmure ton nom et il t'anime encore plus. Tu pénètres un peu plus entre ses reins dans un rythme effréné, lâchant des râles ci et là lorsque tu te sens au bord de l'extase. Celle-ci te parvient enfin et dans un soupir coupable, tu te relâches, t'accrochant à ses hanches, sa ta taille, ses côtes, ses cuisses, ses lèvres. Tu y plonges pour étouffer d'autres sons du fond de ta gorge, ton corps se fait manipuler par des spasmes par dizaine. Tu es sur un nuage. Un nuage électrisant mais incroyablement doux à la fois.

Tu te donnes le droit de reprendre ton souffle un moment, restant confortablement en lui à le regarder tendrement – paradoxalement à tout l'effort que tu viens d’exécuter. Tu vas devoir me porter, tu m'as vidé de toute énergie. Tu ris, doucement. On peut voir déjà quelques rides se dessiner sous tes yeux quand tu les plisses.

« Tu n'as pas besoin d'excuse pour que je te porte, tu sais... »

Le taquiner est ton passe-temps favori désormais.
Tu lui embrasses le bout du nez. Ah, que tu es bien ainsi. Lové contre lui, en lui. Merde. Non. Ca devient embarrassant. Tu profites de quelques secondes encore pour te hisser et rompre le lien le plus délicatement possible – comme si c'était le moment de t'en soucier. « Bouge pas, je m'occupe de tout. »

Tu attrapes un gant de toilette et l'humidifie pour commencer à nettoyer le résultat de vos ébats. C'est un peu froid mais ça aura le mérite de vous réveiller un coup. Le brin de lavage terminé, tu le dévores du regard. « Mh... tu devrais crier mon nom plus souvent. » Tu t'accordes encore le droit de l'embêter un peu, bien conscient qu'il ne l'avait pas vraiment fait – quand bien même tu ne serais pas contre l'idée mais ce n'est pas le moment d'y penser, tu as épuisé toute ta libido pour la journée.

Tu te rhabilles mollement – c'est vraiment la partie que tu aimes le moins, tu as toujours la flemme mais mieux vaut pour Aurore qu'elle ne vous voit pas ainsi. Tu en fais de même pour Jack – franchement, t'as l'impression de t'occuper d'un second gosse comme ça. Tu jettes un œil à l'horloge au-dessus. Il est si tard ? Mince.

« Au lit ! » Dis-tu en passant tes bras sous ses genoux et autour de son buste pour le soulever. Il n'est pas léger, le bougre. Ou tout du moins, il te le semblait davantage quand vous.. Bref. Tu ouvres la porte de la salle de bain. Il fait nuit noire dans l'appartement, seule la lumière de la télévision danse. Tu pénètres dans la chambre et abandonne Jack sur le lit quelques instants – lui offrant un léger baiser pour le faire patiente – avant de rejoindre la petite.

« Auro- »

Tu t'arrêtes. Elle dort. Tu te sens soulagé et un peu coupable à la fois. Pour Crapule aussi qui semble être en train de mourir asphyxié dans ses bras. Le portrait t'arrache un petit sourire que tu balayes très vite. Depuis quand les enfants t'attendrissent ? Tss. Tu la prends dans tes bras et l'amène jusqu'au bureau en espérant ne pas la réveiller – le chat en profite pour fuir on ne sait où encore une fois – peut-être pour préparer un futur plan diabolique.
Tu te baisses un peu et la bordes dans son lit. Elle est mignonne. Enfin. Non. Non. Beurk. Aaah. Crétin. Tu secoues la tête et finis par reprendre le chemin vers la sortie.

« Hanni ? »

Tu te crispes et serres les dents. « Hm... Oui ? » Chuchotes-tu. Tu pivotes vers la petite un instant. Elle a encore les yeux fermés, elle est au bout de ses forces. « Ton cadeau est chouette même si tu sais pas danser... » Un sourire renaît. « Continue de rendre papa content... » C'était marmonné, comme si elle était en train de rêver. Mais non, c'était simplement les derniers mots qu'elle a à t'offrir avant de plonger dans les bras de Morphée. Tu ne saurais dire pourquoi mais ton cœur a fait un bond, encore. Les Grimm... Ils te mettent dans tous tes états.

Tu fermes doucement la porte derrière toi avant de retourner vers votre chambre et de t'effondrer sur le lit aux côtés de ton amant, abandonnant sur ta route ta chemise et ton pantalon (tu n'en peux plus de cette tenue, tu rêves de retrouver tes vieux jeans et tes t-shirt). Tu le serres contre toi et joins l'une de tes mains à la sienne.

« Je t'aime. »

Tu l'as sans doute dit trop de fois depuis hier, mais qu'importe. Tu ne veux plus avoir de regrets.
Tu veux continuer à le choyer comme ton plus précieux des trésors.


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Carbone
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COLONEL // PREDATOR
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2016-03-06, 23:10

YOU'RE THE ARCHITECT OF MY NEW WORLD

carbone x hannibal

M U S I Q U E

Je ne fais absolument rien si ce n’est le contempler. Et ce n’est pas pour me déplaire. Je me retiens tant bien que mal de glousser, presque gêné de me montrer si princier. Il a beau me taquiner et faire naître des rougeurs à mes joues, je reste à l’égal d’un pacha. Un pacha qui mémorise tout, y compris le fait qu’il me suffira de lui demander qu’il me porte à l’avenir, pour qu’il le fasse. Je ne me ferais pas prier, oh non.

« Mh... tu devrais crier mon nom plus souvent. » C’est qu’il me donne presque envie de lui sauter à nouveau dessus. Je lui pince les joues et les tire de manière à le transformer en drôle de clown. Ou comment faire taire un embarras naissant… Cherche t-il à me faire perdre mes moyens le gredin ? Je soupire. Réfléchir me demande trop d’énergie.

N’empêche, je suis trop heureux d’être chouchouté. Je ne me doutais pas qu’il puisse m’offrir tant d’égards et d’attentions. C’est qu’en plus de me laver - fait qui me procure un bien-être fou - Monsieur tient à m’habiller. Je me redresse mollement à sa suite et le laisse faire, sans le quitter des yeux. Ouch. J’ai le dos qui craque. Furtivement je passe une main sur celui-ci et y découvre les marques du carrelage. Il ne m’aura épargné aucun confort.

Il me porte, je tique. Il ne plaisantait donc pas. Merde, je me sens tellement bien et tellement idiot à la fois. Je n'en peux plus de ces montagnes russes émotionnelles. À peine ai-je le temps de lui sommer de rester à mes côtés qu'il décampe. Je fronce les sourcils. Ah. Oui. Aurore. Je blêmis, épris de scrupules, de n'y avoir songé le premier. Plutôt que de me lever et de suivre son exemple, je me dévêtis, m'enfouis sous les draps et grommelle.

Je n'ai pas été le plus exemplaires des pères pour son anniversaire. Il faudra que je me rattrape. C'est vrai, avec un peu de recul, c'est peu dire que je ne l'ai pas été ! J'ai porté presque plus d'attention à Hannibal qu'à elle sans compter notre fuite pour la salle de bain. Tandis qu'elle regardait la télévision, je m'envoyais en l'air. Franchement, Jack, t'as de quoi avoir honte !

La couette ne suffit pas à cacher mon affliction et lorsqu'il revient s'affaler à mes côtés, j'hésite une seconde à me cacher sous les coussins. Mais, à quoi bon ? Ce qui est fait est fait, mh. Pas mal comme excuse pour déculpabiliser... Il se colle à moi, glisse sa main dans la mienne et déjà je me sens plus léger. « Je t'aime. » Vraiment plus léger.

Je pense pouvoir m'y habituer sans peine... À ce que tu me dorlotes.

Je gigote, remue, frotte mes genoux contre son ventre, mon nez contre son menton. Mes doigts courent le long de son épaule, de son bras et se meurent dans les draps. Plus je le touche, plus je sens mon corps entier sourire. L’idée que demain, en principe, nous irons au cimetière n’arrive pas à entacher la sérénité dans laquelle je viens de m’engoncer. Et c’est tant mieux. Manquerait plus qu’elle m’envahisse et que je fasse des cauchemars… Oh Jack, tu penses trop.

Cependant, je ne peux m'en empêcher, de trop penser. Sauf que, béni soit mon esprit - pour une fois - je ne pense pas à des choses négatives. En fait, je viens de me rendre compte d'à quel point le sexe avec Hannibal est bon. Quoique "bon" est trop faible mais je ne vois pas quel autre adjectif employé... Je n'ai pas souvenir d'avoir connu pareil plaisir. Pas étonnant que je me sente le devenir d'un drogué.

Outre le sexe, c'est le seul fait d'être avec lui qui est bon.

J'ouvre les yeux sur sa gorge. Elle me fascine. Je l'embrasse furtivement avant de faire taire le remue-ménage intérieur dont je suis victime. Je me concentre sur sa respiration, sur son odeur, sur les imperceptibles battements de sa jugulaire. Le sommeil m'engourdit, poursuit son ascension.

Moi, je t'aime plus loin que la plus lointaine des étoiles.

J'esquisse un sourire enfantin et me perds définitivement dans les limbes. La malice reste au demeurant sur mon visage et c'est à n'en pas douter que mes rêves seront dignes de ceux d'un adolescent débordant d'amour et d'espoirs candides.
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