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It where my demons hide [Ft. Nathan J. O'Brian]

Viszs
Viszs
2015-12-14, 11:01


Sans doute ne paraissait-il que plus infime encore que son compagnon dans cet étau de masse grouillante. Sûrement pas, à vrai dire. Ses paupières oscillent vers la gestuelle appliquée du grand brun posé à ses côtés, procédé habituelle d’une mécanique aussi impersonnelle que ses propres affaires. Il n’y avait qu’un esprit suspendu consumé au fond de ses iris. Calèche de rangement à la compréhension et au sentiment indicible face à la tâche confiée. Ou peut-être était-ce seulement dû à la nouvelle coopération avec un esprit effronté qui lui faisait défaut. L’insatisfaction ne planait pourtant pas sur son humeur, mais il n’était pas non plus heureux de travailler en groupe. Peut-être. Les pupilles papillonnent et s’efforcent de trouver un point d’encrage sur le travail administré.

« Si tu trouves quoi que soit d’intéressant, prends le en photo tout de suite. »

La voix s’écorchant dans le silence qui s’était posé, écartelant ses mots contre lui-même avec une voix plus rugueuse qu’à l’accoutumé. Peut-être commençait-il à un peu trop fumer lorsque l’aube s’élevait. La tignasse de Viszs peut certainement en témoigné, mais étonnamment, cela ne retirait en rien le charisme qu’il possédait. Dans l’enceinte de ce bâtiment médical, il était de ces jours où une foule cacophonique déambulait dans laquelle les deux collègues se glisser doucement. V. était l’un de ses individus peu avare des conversations versatiles, se plaisant dans le silence de ses réflexions, essayant d’apercevoir une opportunité intéressante et sa patience était exemplaire. Emmenant son partenaire à travers les escaliers et les couloirs grouillant de masse informes, lumière qui éclairent et quelques regards offensés, entre bruits métallique et d’autres praticiens n’ayant rien remarqué. Sans doute que son ascension était un délice, mais moins encore que ce qu’il aurait peut-être espérer.

« Ah, je te préviens. On n’ira pas manger tant que je n’ai pas trouvé. »

Sans doute allait-il entendre des grognements incessants, mais il préférait consolider ses bribes d’esprits tant qu’ils étaient pleinement éveillés, au risque d’accroître l’animal bruyant à ses côtés. Des ressemblances sur une même nationalité et pourtant, le journaliste avaient cette impression qu’ils n’appartenaient pas au même monde d’origine. L’heure ne cessait de tourner, mais Vishous ne trouvait aucunement un sujet d’exploitation assez intéressant pour faire l’objet de sa pleine attention. Et puis, le pas ralentit doucement, les pupilles se passionnent soudainement pour deux individus lambda, mais peut-être plus pour longtemps.

« Je crois qu’on vient de trouver quelque chose d’intéressant. »
« Les dangers visibles nous causent moins d'effroi que les dangers imaginaires. »





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2015-12-14, 15:40
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D
eux yeux bleus derrière l’appareille photo scrute le moindre recoin qui pourrait avoir un minimum de valeur au moment de l’édition. Deux yeux bleus prêts à quadriller le moindre faux pas d’un simple flash, si encore celui-ci passe sous l’objectif. C’est dans cet hôpital que ces deux yeux bleus entre en action. Un endroit assez redouté pour les âmes faibles qui ont peur d’une simple aiguille, mais aussi l’endroit rêver pour faire tomber les masques sur la vérité. Quelle vérité d’ailleurs ? Qu’importe laquelle, celle d’un traitement bien trop dangereux pour son utilisation, celle qui montre ce fameux personnel bien trop négligeant envers ces patients. Il y en avait tellement de toute sorte, que la liste était aussi longue qu’un simple saut en parachute. Chaque établissement avait toujours son petit lot de secret bien enfoui sous une belle couche tartinée de mensonge, et c’était assez plaisant de venir tout y chambouler sans crier gare pour exposer tout cela au grand jour. Dans la limite du raisonnable bien sûr. Après tout, c’était ça ton petit gagne-pain. Tel un paparazzi, le monde n’avait guère de secret à tes yeux. Certainement pour cela que l’on avait fait appel à toi, ou bien simplement parce que ce n’était pas la première fois que la demande de travailler en équipe avec Monsieur Vishouille – comme tu aimes l’appeler ainsi à l’intérieur de cette petite tête brune – avait été faite. Ce n’est pas réellement pour te plaire, mais ce n’est pas comme si c’était le pire de tous ceux avec qui tu avais déjà travaillé auparavant. Lui au moins tu avais la décence de le respecter. Du moins partiellement.

Dans ce silence sans avoir la moindre envie pour l’instant de communiquer ne serait-ce qu’un tout petit sentiment sur quoi que ce soit avec lui, tu suis le mouvement comme un gentil petit soldat qui ne désobéit pas. Pas encore bien sûr. Parce que forcément chaque bonne chose a une fin à un moment donné. Mais pour l’heure et bien que ce soit assez rare en fin de compte, il te faut réfléchir. Activer tes petits neurones grisâtres pour trouver quelque chose d’intéressant à se mettre sous la dent. Ces quelques maigre photo déjà prise et qui attende dans l’appareil ne seront certainement pas suffisante pour en tirer un si bon prix. Elles sont fades, dénué d’une quelconque valeur, peut-être pas au point de ressembler a du pipi chat, mais tout de même. Pour le professionnel que tu es – même si visuellement, il est bien dur de le croire – il vaudrait mieux présenter quelque chose avec un minimum d’intérêt.

Un soudain haussement de sourcil de ta part en voyant les lèvres de ce cher Vishouille bouger, mais sans entendre le moindre son sortir. La tête légèrement penchée sur le côté comme pour tenter de comprendre un décryptage, ces finalement avec un peu de bon sens et une main lasse, qui viens retirer l’écouteur de l’oreille gauche, percer d’un écarteur et minutieusement caché depuis votre arrivée ici. N’avait-il pas essayé de te parler à plusieurs reprises ? Surement vain sans aucune réponse. C’est dans ces moments-là, ou il y est possible de se demander si tu ne te fous pas de la gueule du monde. Juste un tout petit peu. Mais tu es comme ça, plus productif avec un peu de musique. Ou alors ceci n’est qu’une plate excuse qui ne t’oblige pas à devoir ouvrir la bouche et donne un air sérieux et concentré. Mouais, c’est du foutage de gueule.

❝ Excuse-moi, tu disais ?  ❞
Un jour petit Nathan, ce comportement finira par te créer de réels ennuis, si ce n’est pas déjà le cas. Retirant le deuxième écouteur avant que les foudres ne s’abattent brutalement sur toi, tu ranges le tout dans une poche comme si de rien n’était. Puis empoigne ton appareil photo sagement suspendu à ton cou. Un regard dans la direction qui a l’air de le fasciner tant que ça et tu hausses les épaules. Qu’est-ce que deux types on ne peut plus normal peuvent bien avoir de si intéressant à raconter ? C’est toujours là où on ne le soupçonne le moins que se trament les meilleures histoires. Un fait testé et approuver.

❝ Mmh, c’est toi le journaliste, c’est toi qui poses les questions, je ne suis que ton ombre. Alors va s’y. Fonce vers ton destin ! Dis-tu d’un léger ton moqueur. Mais soit gentil ne leur fait pas trop peur pour rien. ❞




© Lae || HRP : T'inquiète pas, j'ai trouver ton poste très bien :3 j'espère que ça te va celui-là x.x ||
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Viszs
Viszs
2015-12-17, 18:32


En était-il foncièrement étonné ? A vrai dire, pas le moins du monde. Autant le journaliste pensait que toute chose est égale ailleurs, le gouffre d’un certain vide creusé dans la boîte crânienne de son compère par la destruction de l’intellect s’étant effondré bien trop rapidement. Il en avait presque pitié pour cette bête. Ou sans doute pas, au final. Que chacun reste enfermé dans le triste sort qu’est la vie. Il ne fit que lancer ses phalanges d’un ton vague à son compagnon photographe qui ne s’était posé aucune question d’ailleurs. Le côté primitif prenait le pas chez Nathan autant que le vice chez Vishous. Ainsi va la vie. Parce qu’étrangement, le journaliste allait et venait dans les environnements familiers aux praticiens les plus avancés, s’octroyant la permission d’entrer dans les salles d’examen sans que cela ne pose un véritable problème dans l’enceinte du bâtiment. Il y avait de l’utilité à toute chose.

« Tu vois la femme-là assise ? Prends-la en photo et fait bien un plan serré sur son visage et sur celui qui l’accompagne. »

A quoi bon demander ? L’affirmation et l’ordre prenaient le pas sur le reste de son existence et ce n’était pas un photographe qui allait lui poser le même problème. Il attire sans grand effort les recoins de la salle d’examen. La jeune fille possédait une fracture à la cheville, aussi peu agréable à regarder que son compère. Selon V. bien évidemment. Elle ne rechignait pas, mais le journaliste s’empressa alors de poser nombreuses questions à la cause de cette blessure douloureuse. De toute façon, quiconque connaissait le journaliste du moment, dans ce journal si populaire. Des réponses s’inscrivent dans ce calme ambiant, de façon presque aussi inintéressant que cela pourrait le rendre hilare. Le résultat en soi était peu satisfaisant, et clairement banal à la situation. Mais il savait fort bien que la réalité était là, cachée sous le regard fuyant de la femme envers son fiancé.

« Hum, hum. Banal chute dites-vous. Alors pourquoi fuir le regard de votre fiancé ? Simple question. »

Le calme posé semble s’alourdir de propos non dévoilés, engendrant regard curieux et impatient. Quant à Viszs, les babines n’osaient se retrousser librement à la trouvaille qu’il allait certainement trouver et dont il n’en sera satisfait qu’une fois les réponses percées. Elle n’osait répondre convenablement. Ses pensées sont ouvertes sur bien des horizons, et quiconque pouvait apercevoir un flot de sentiments aussi incompréhensiblement différents, mais qui tournent en boucle et envahissent l’esprit aussi fortement que son visage n’ose l’exprimer. Et Dieu seul sait que Vishous possédait un regard aussi pénétrant qu’une dague, s’enfonçant plus encore dans la peau, la transperçant de toute part. Car il était patient, beaucoup trop patient.

« Nous finirons par le savoir de toute façon. »

La fatalité du constat ne fit que poser un tempérament douteux du fiancé, et son impatience malheureuse. Tandis que les médecins continuaient leurs examens, le constat d’une grossesse tomba soudainement, rendant sourire et fierté dans la pièce. Chacun salua et félicita cette venue, même Vishous et son air peu recommandable, qui avait oublié la présence même de son collègue présent lui aussi. Et en vérité, il s’en foutait éperdument. L’apogée des questions ne résolut en rien la curiosité de V. qui était persuadé de voir quelque chose de clair parmi ses mots. Tout deux étaient en carrière juridique, sans rien sortir de l’ordinaire. Sauf un point. Elle était enceinte de quelques mois déjà. Et le fiancé avait finalement prononcé ses quelques mots « Mais…On ne s’est pas vu depuis des mois. »

Cette fois-ci, les babines s’étaient étirées en un large sourire, le faciès finalement dévoilé. Ce n’était que le début, il savait que le problème était beaucoup plus complexe, et qu’il irait au bout des choses. Sans que cela ne se termine bien. Pas avec Vishous.
« Les dangers visibles nous causent moins d'effroi que les dangers imaginaires. »





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2015-12-21, 04:32
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U
ne petite touche d'humour histoire de détendre un peu ce froid qui règne, mais qui n'avait pas l'air d'être souhaiter ou même apprécier par tout le monde. Soit, tant pis, tu aurais eu l'audace d'essayer au moins. Vous étiez la pour le boulot après tout et non pour autre. Pour toi, ses méthodes étaient un peu particulières. Voir même légèrement trop brusque de temps à autre. Peut-être que son envie de simplement avoir l’article parfait été bien trop présent ? La délicatesse de vouloir savoir telle ou telle chose n’était pas forcément toujours au rendez-vous. On ne peut pas réellement considérer ça comme si c’était tes affaires, le résultat de son travail était toujours là. De toute façon mise à part prendre quelque photo et à la limite donner un avis sans qu’on le demande le tact utilisé n’était pas le tient. Peur sûre qu’il soit mieux d’ailleurs. En guise de simple réponse, tu hoches la tête armée de l’appareil photo, près à être braqué sur les deux visages et à enchaîner les clichés l’une après les autres. Il y avait quelque chose d’intéressant, il faut reconnaitre que cela se lisait sur leur visage que chacun voulait à tout prix cacher quelque chose, mais quoi ? Le seul moyen de le savoir était forcément de rentrée dans la pièce. Tu suivais le journaliste, puis une fois dans un coin assez discret avec un bon angle de vue, les premières photos commencer à se faire entendre. Il ne fallait pas avoir honte ni craindre quoi que ce soit dans un tel métier. Cela demandé de savoir s’incruster dans la vie privée des gens sans remords ensuite de tout dévoiler au grand jour. Forte heureusement pour toi, il est assez rare que celui-ci te consume.

Tes quadrillages étaient diversifiés, il y avait les plans demandés sur le couple, ainsi que cette fameuse cheville en si mauvais état. Pendant un cours instante, tu avais eu la même réaction que Vishous. Une simple chute soit disante ? Mais celle-ci n’avait vraiment pas l’air d’être banale. Un homme violent serait-il donc à ses côtés ? Peur sur de cette conclusion. Il paraissait bien trop calme pour avoir l’air et la jeune n’avaient pas réellement de bleus divers éparpillés sur le corps à déplorer. Mais les apparences sont souvent trompeuses. Même de simple menace venant d’une petite parole en l’air avait de drôle de répercussion. C’est alors que les réjouissances à l’annonce d’un futur enfant réjouissaient une grande partie des personnes présente. Des simples félicitations et un léger sourire suffisaient à montrer un peu de joie sans devoir sauter aux plafonds quant à la nouvelle. De quoi ne pas ressembler à être sans cœur pour une telle chose. Après tout apprendre qu’on donnera bientôt la vie est un moment si merveilleux que tu n’en perds pas une miette pour l’immortaliser comme il se doit. Peut sûr, que la nouvelle d’un nouveau nez mérite sa place dans les gros titres d’un journal. Quoique la suite peut-être que si.

Cette annonce été tombé si brutalement que tu eus un instant de bug avant d’appuyer sur le bouton de l’appareil photo. Personne ne mérite de comprendre de cette manière que l’enfant porté n’était pas le sien. Une seconde à se mettre à la place du compagnon, cela ne devait pas être plaisant comme sensation. Mais après une certaine lucidité retrouver le cliché fut pris. Peut accepter par tout le monde d’ailleurs, mais il en fallait plus que ça pour que tu décides de rien photographier. Les histoires, une de plus ou une de moins, celle-ci ne risquer pas d’être la dernière à passer sous l’objectif. Et alors que de veine explication et tentative de noyer le poisson se fit entendre par la future mère, la porte s’ouvrir brusquement laissant entrer un homme bien plus âgés que la plupart des êtres présent dans cette pièce. Il se dirigea avec assurant vers le couple, il était grand et porter une blouse blanche. Un autre médecin. Pourtant, sa proximité avec les deux personnes n’avait rien de professionnel, comme s’il avait un lien parenté avec l’un deux. Ce qui se confirma d’ailleurs en entendant le reste de leur conversation. Monsieur n’était autre que le père de la jeune femme. De tes yeux bleus, bien reclus dans ton coin, tu voyais la scène avec la sensation qu’un morceau t’échapper. Comme un puzzle dont une pièce venait tout juste de se faire la malle. Il y avait quelque chose de louche dans l’air, et tu l’avais vue. Une fraction de seconde, mais avais compris. Ce petit regard qu’il venait de poser sur sa fille n’était en celui d’un simple parent inquiet pour son enfant. Non, il y avait bien plus que ça. Doucement, pour ne pas attirer l’attention, tu te rapproches de V pour avoir la possibilité de lui murmurer à l’oreille que lui seul entende :

❝ Écoute, je le sens moyennement-là. Un père et sa fille qui ont une relation, qui plus est un médecin renommer, j’suis pas sûr que ce soit un joli titre d’article. ❞




© Lae
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Viszs
Viszs
2015-12-21, 17:10


Il y avait des sonorités lointaines, soudainement parvenues de part et d’autre de la pièce suite à l’avènement se déroulant actuellement. Il y avait de ces chuchotements qui n’osaient s’étendre aux delà des oreilles indiscrètes. Ses pupilles ne font qu’observer cet incessant ballet des individus présents qui se défoule et se piétinent. Et il y avait de ceux qui s’éloignent des autres et deviennent plus fortes encore. En l’occurrence, celle de son compagnon de travail actuel. Il n’était pas aussi bêta que le journaliste aurait pu juger sur le constat ainsi énoncé, souhaitant protéger l’intimité des dires à seulement ces deux êtres. Cependant, le regard de Vishous quitta sa ligne d’horizon, venant juger le faciès du photographe. Diable, il ne semblait pas en revenir. Son murmure s’était répercuté avec fracas dans le thorax de Viszs, qui haussa un sourcil d’une nonchalance éreintante. Ils possédaient tout deux cet échange énigmatique qu’ils partageaient à eux seuls.

« T’es con naturellement ou t’as pris des cours ? C’est justement un très bon titre de journal. C’est exactement ce dont j’avais besoin de savoir dans cet hôpital. »

C’était une contagion d’une sonorité qui s’ébruite jusqu’aux creux de ses tympans qui feuler sur l’impureté en quête de perfection. C’était mal et quiconque le savait, mais les regards et propos énoncés avaient déjà atteint l’oreille fine du journaliste. Ses pupilles frôlent à présent le regard de son compagnon. Il n’avait qu’épouvante qui se joue et vibre en son interlocuteur, tandis que Vishous jouissait tel d’un vainqueur d’une affaire coincé en lui et dont il n’arrive à contrôler en une chute inespérée que brandit la décadence. Il avait été auparavant trop las, mais la curiosité de vérité était tellement forte qu’un débat dangereux allait certainement éclater au sein des individus présents dans la pièce. Le journaliste était disposé à toutes situations, quand bien même cela ne devrait être autant exposé, et c’était bien pour cela que Vishous était aussi populaire. Il ne clamait en rien que la vérité propre cachée sous des tonnes de tableaux, vanité que lui-même possède. Viszs ne sait que trop bien que cela soit hors d’atteinte, mais pas pour lui, souhaitant braver les interdits un à un. Il ne pouvait nullement éteindre la ferveur allumée dans son cœur. Il sentait cependant un regard lourd de sens provenir non loin de sa personne, le jugeant d’un air peu agréable. Exhalant un léger soupir, il s’excusa auprès des individus et se précipita à l’extérieur, en compagnie de Nathan.

« Peu importe les regards que tu me feras ou les remarques que tu me lanceras, ce sera vain. Tu prends en photo le médecin qui vient d’arriver et tu continues de prendre les autres, surtout leurs expressions. Que tu ne sentes ou pas la situation, on ne change pas nos plans. »

Nulle solution ne se poserait afin de faire comprendre la réalité de la situation. Quand bien même le journaliste connaît le sens à cet événement marquant, son effervescence avait atteint son paroxysme, laissant certainement une impression âpre et inconstante aux autres, surtout à Nathan. Cette situation semblait si irréelle et hors d’atteinte qu’elle exaltait un feu ardent au sein de son thorax et il ne laissera personne dictait sa conduite et surtout pas la rédaction d’un article aussi houleux que celui-ci. Vishous n’était pas de ceux qui se laissent approcher avec facilité sans y laisser des plumes et lui-même ne se préoccupait pas assez des autres pour se résoudre à écouter. Il ne concéder jamais. Et ce n’était pas le photographe qui allait changer cela, surtout pas aujourd’hui. Viszs apposé ses idées et y laisser les marques au fer rouge. Il y planta ses rétines perçantes au sein même de ceux de son compagnon si affriolantes. Se maudissant l’un et l’autre pour leur lutte vaine, chacun était un effronté l’épée à la main, parce que V ne contenait les graines de la compréhension et semblait semé une tempête, pour la laisser grandir et éclater dans toute sa splendeur.

Ainsi, le journaliste reprit possession de la salle qui semblait s’être tendue à l’extrême. Le mari semblait exiger des explications, tandis que la jeune femme était perdue entre le regard de son mari et celui de son paternel. Vishous ne tarda cependant pas à demander de brèves explications quant aux regards lancés et les possibilités qu’il pouvait énoncer en tant que médecin, bien entendu. De là s’agrandit l’hésitation entre pieux mensonge découvert en chacun et vérité lancinante. Les secondes de réflexion permirent aux mirettes du grand brun de chavirer vers son compagnon photographe revenu, veillant à ce qu’il se tienne à sa tâche donnée. Mais la réactivité n’était pas aussi aisée qu’il ne l’aurait souhaité. Le silence trouble se troubla par la question répétée du journaliste, brisant définitivement le havre idyllique qui semblait s’être auparavant créé autour de cette future famille.
« Les dangers visibles nous causent moins d'effroi que les dangers imaginaires. »





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2015-12-30, 02:10
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B
ien que ce soit assez rare, il t’arrivait quelque fois d’avoir une conscience. Assez mature pour te faire comprendre que ce genre d’information une fois divulguer, aller, faire de gros dégâts. Non pas seulement pour une histoire de réputation, de famille brisée et tutti quanti, bien que cela y joue beaucoup. Mais selon a qui, on s’attaque les répercussions peuvent être bien dangereuses. Une personne suffisamment haute gradée dans la hiérarchie n’aimerait certainement pas que ce genre de débordement finisse par être là, une des journaux. Avait-il seulement conscience de cela ou la seconde où il avait compris ce qui se tramer son envie d’avoir le meilleur article le noyé à un tel point que le sentiment des autres lui était totalement égal ? Sa réponse été si cinglante quel confirmé assez bien l’idée que tu avais en tête.

❝ J’suis peut-être con à tes yeux mais tes franchement pas mieux ! ❞
La situation était sur le point de dégrader dangereusement. Tu avais un peu de bon sens, mais apparemment ton collègue n’en était pas doté autant que toi. Ce qui est sûr, c’est que ces explications ne pouvaient se faire en présence de témoins. Non pas que tu veuilles l’assommer pour que les choses rentrent dans sa caboche – bien que l’idée été assez tentante – mais tout de même, la tension ans la pièce été bien trop lourde pour en rajouter une couche avec vos mots si peu délicate. Sans rien dire, tu le suivis en dehors de la chambre. Poing serré, celui-ci avait une irrésistible envie de se cogner contre quelque chose, mais à la place, tu les enfonces dans les poches et dévisages celui qui est censé être ton partenaire pour la journée. Il y a bien peu de domaines dans lesquels vous arriver à tomber d’accord et malheureusement le boulot n’en fait partie que dans de très rare occasion. C’est assez agaçant la façon dont il arrive à te mettre hors de toi en si peu de temps. Mais ce serait dommage d’envenimer les choses en parlant avec tes poings Comment lui faire comprendre ton point vu sur la situation un peu trop délicate ? Ce n’est pas réellement possible en soi. Il est aussi borné qu’une chèvre.

❝ Tu veux jouer à ça très bien. Alors va s’y. Va donc faire se putain d’article puisque tu en as décidé  ainsi. Ce sont tes plans. Mais vient pas te plaindre quand les emmerdes reviendrons en plein gueule, parce qu’il y en aura.  ❞
Il y en a toujours de toute façon. Personne dans ce monde et certainement pas ce métier, peuvent faire quelque chose sans en sentir le retour des actes. Aussi douloureuse soient-elles. On demande d’avoir les tripes et l’audace bien accrochée ce n’est pas pour rien. Tu n’as jamais été contre de donner la vérité au gens, mais comparait à ce cher Vishous, tu as des limites que lui semble pouvoir dépasser aisément. Peu sûr, que tu souhaites avoir sa place. Le regarde encore dur et froid poser sur lui, tu abandonnes l’idée de lui faire entendre raison. Rien n’avait l’air de pouvoir arrêter sa soif de tout mettre au grand jour. Rien sauf peut-être une chose qui risquer de t’attirer ses foudres. Mais au point où tu en ais ce n’est plus qu’une question de temps. Attendant qu’il tourne les talons, sans même t’attendre visiblement, tu en profites pour retirer la pellicule de l’appareil photo. Ni vu, ni connu, celle-ci se retrouve plonger au fin fond de la poche de ta veste. Sans photo, son article avait des chances de faire soit un flop, soit pris comme un tapis de mensonge ou tout simplement les dégâts seront moins dramatique que ça. Dans tous les cas à la seconde où il allait le comprendre, s’en est fini de toi. Est-ce vraiment la meilleure option qui soit ? Pas vraiment, c’est peut-être même la pire d’entre toute. Mais bien décider à défendre tes propos, pas question de faire marche arrière. Quitte à supporter des bleus sur le visage pendant une semaine.

Une grande inspiration, l’appareille de nouveau en main pour donner l’illusion que tu acceptes ses choix, tu rentres à nouveau dans la pièce retrouvant ce petit coin discret qui te permet de tout voir sans être au-devant de la scène. Comme d’habitude, tu quadrilles tout, même si aucune expression ne sera sauvegardée. La conversation qui se tient chatouille tes oreilles, le malaise est si pesant qu’il t’inonde doucement. Peut-être pas au point de vouloir prendre la porte, mais celle d’arrêter les mots qui sortent de chaque bouche, oui. Pourtant, tu n’en fais rien. Tu restes-là sagement à tenter d’imaginer quelle sera la réaction du mari une fois la vérité éclatée. Rien de bon ça s’est sûr. La jeune femme tentée de gagner du temps au grand déboire de l’époux qui s’impatienter de seconde en seconde et certainement celle de Vishous aussi, penses-tu. Elle commença alors à sangloter, ses mots avaient de moins en moins de sens avant de se perdre sous une effluve de larmes interminables. Le père qui se voulait discret jusqu’à présent osa prendre la parole. D’un ton calme, il avoua tout. Sans omettre le moindre petit détail. Tu étais stupéfait de sa franchise, mais surtout de cette sérénité qui planer au-dessus de lui. Comme si, il n’avait rien à craindre. Comment pouvait-on l’être ? Alors que tu te posais la question, la soudaine réaction du mari aussi violente soit-elle te fit sortir de tes pensées. Son poing venait de s’écraser contre son visage avec une grande brutalité. Les insultes pleuvaient à son égard et si seulement il s’était contenté de ça.

Sous tes deux yeux bleus, tu voyais le jeune homme faire le tour du lit pour s’en prendre encore et encore au paternel. Tu aurais intervenir, mais la sécurité fut plus rapide. Séparant les deux individus rapidement, puis demandant à tout le monde de quitter la pièce. Sans attendre un mot, un signe ou bien même une quelconque autorisation de la part de Vishous, tu sors de la chambre. Non pas pour rentrer chez toi, puisqu’à ton avis certain chose devait encore être réglé avec cette tronche de cake. Allant un peu plus loin dans le couloir passant par une baie vitrée pour sortir sur un balcon vide. T’adossant ensuite contre le mur. Tout cela te donner une irrésistible envie de fumé. Ce à quoi tu profité du plein air pour sortir un paquet. « Quelle journée de merde » murmures-tu la clope entre les dents.



© Lae


HRP:
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Viszs
Viszs
2016-01-09, 15:25


La tignasse se relève doucement, les sourcils se haussent d’un geste désinvolte et les pupilles glacés se lovent dans l’absurdité énoncée. Peut-être pas en réalité, simplement, les deux jeunes hommes possédaient des avis aussi contraire que le jour et la nuit, s’embrasant mutuellement d’un feu ardent en paroles. Têtues des deux côtés, le journalise savait irrévocablement que son compère ne serait du même avis, apposant son choix que même Vishous respectait humblement, mais dont il ne pouvait partager, ni même concéder. Nathan devait se poser en lui un bon sens héroïque, tandis que l’autre clamait vérité dans les faits. Cependant, V. ne développerait aucunement la raison de son acharnement, étant voué à un échec misérable s’il osait en prononcer les mots à son collègue, n’étant pas friand des paroles inutiles. Envenimer le photographe était une chose aussi simple que de faire ses lacets, et ce Vicieux n’avait de cesse de déverser des tourments en l’assaillant en tornade de mots les plus infâmes et sa vision des choses, afin de trouver la limite, et à l’y faire accéder. Malheureusement, ce ne sera sans doute pas encore là que Viszs y parviendra, mais sa patience n’avait aucun égal, et son ambition trop grande pour ce fané.

Retour des actes, cela faisait bien longtemps que le journaliste ne s’en préoccupait. La presse avait domptée les plaintes abusives en chacun, détournant les propos comme lui, le faisait habilement. Après tout, il n’était pas dans le métier pour rien. Et au titre du privé, la vérité éclate inlassablement aux cœurs des individus qui osent s’en prendre à un Conteur. Misérable sans une once de pitié pour les uns, profane les cœurs aux autres et ainsi vie en sérénité. Il abusait pleinement de son pouvoir et ne s’en cachait même pas, sans doute par trop d’arrogance. Cependant, Vishous avait travaillé avec bon nombres de photographes, et chacun avait finit par accomplir un acte à la stupidité affligeante, rendant le journaliste pensent sur les agissements de son compère. Allait-il faire cette même erreur ?   Il ne saurait le dire, mais la réponse vient à lui plus rapidement qu’il ne l’aurait souhaité.

L’obéissance est un principe révolu pour Vishous dans la sphère privée, se contentant des formes dans le monde professionnel. Mais le silence et la soumission si rapidement prit par son photographe fit naître en son sein une certitude quand à son action précédente. Nathan n’était le seul à avoir prit des photos dans le passé, ou encore aujourd’hui. Illusionniste raté, sans avoir pris en compte l’expérience. La réalité des faits laisser en lui une marque de lassitude tellement présente qu’il en exhale un soupir. V. n’avait aucune marque d’impatience dans le gain de temps de la jeune femme, ni mêmes de la suite des événements. Si prévisible, si pathétique. Viszs n’en omettait rien, aucun détail. Tout était prit au piège par les écrits. Il suivit simplement le photographe à la con dans son cheminement.

« Je ne peux qu’être d’accord avec toi. »  

L’entendant prononcée ces quelques mots, il vint se placer aux côtés de Nathan, qui devait être surprit ou au contraire, Viszs ne s’en souciait pas la moins du monde, s’adossant doucement. Positionner ainsi contre le mur, il profita comme son interlocuteur pour oser fumer lui aussi. Il était aux côtés d’un astre brûlant doucereusement, et qui pourrait exploser comme une étincelle. Les pupilles avaient papillonnés doucement, semblant chercher dans sa mémoire quelque chose qu’il n’avait fait. Mais le corps est curieux de la réaction.

« Je me contre fous de ton avis personnel, le mien ne compte pas plus dans cette histoire et tu devrais le savoir. Je ne te pensais pas te voir dans ce genre de bassesse puérile. Mais heureusement, tu vas reprendre ton professionnalisme et continuer le travail, Nathan. »

C’était une menace perceptible, et combien d’êtres Vishous pouvait montrés à Nathan l’état dans lequel étaient devenus ceux l’ayant défié et aucunement écouter. Elle n’était pas faite pour être sous-entendue, mais elle n’était pas non plus faite pour être explicitement dit. V. avait simplement fait comprendre à Nathan qu’il savait, et qu’il n’en tiendrait rigueur que si cela se reproduit. Il accomplissait une bonne action de la journée, cela ne sera que de courte durée. Il ne réduisait le brun qu’à un objet de travail, tout juste bon à accomplir ce pour quoi il doit être fait, et seulement cela. Intonation caverneuse enfouie aux creux de sa gorge. Si froide et tranchante à la fois. Il n’accordait jamais une seconde fois. Jamais. Il était simplement là, posé entre ces murs à crachait la fumée, piètre addiction qui n’arrivait à défaire et n’essayait pas.

« Finis ta clope et on y retourne. J’ai l’impression que cette histoire ne va pas s’arrêter en si bon chemin. »

Il jeta le reste de sa cigarette et entra de nouveau dans le bâtiment. Il laissa simplement le temps à son collègue d’assimiler la phrase énoncée précédemment. En espérant qu’il le comprenne, et ne fasse rien de stupide.  
« Les dangers visibles nous causent moins d'effroi que les dangers imaginaires. »





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Anonymous
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2016-02-29, 15:03
Don't trust too much

J
ournée merdique, plan merdique. Voir même coéquipier merdique à cet instant présent. Faut dire qu’il a le chic pour qu’on soit bien rapidement en rogne contre lui. Et puis, il faut avouer qu’il y a de quoi, dans un sens, c’est une tête à claques. Une tête à claques qui sait, ce qui veux, quitte à utiliser toute les moyens quelle qu’il soit pour y parvenir. Toi aussi d’ailleurs quand on y pense, mais pas au point ais au point que ce e soit qu’au finale qu’une question d’argent ou bien simplement pour la gloire de faire les plus gros titres de la ville. Il y avait une limite à tout ça. Mais est-ce qu’il la connaissait vraiment, ou est-ce qu’il se contente seulement de faire les choses ainsi sans vraiment se poser question sur les conséquences en retour ? Au final, seul le résultat conte pour lui.

Tu soupires un coup tentant de te détendre vainement avec la clope au bec, de cette journée qui te donne l’impression qu’elle n’en finit plus. Prêtant à peine attention à ce cher Vishous, qui, ta suivi jusqu’ici pour s’en offrir une. Où ne serait-ce pas plutôt un sermon qu’il souhaite te donner. C’est le bordel à l’intérieur et il y a de quoi pour que ce soit le cas. Mais ce n’est pas ce qui t’agace le plus. Ce qu’il se trame à l’intérieur n’est surement rien en comparaison à ce qu’il maintenant. Ses mots chatouillent ton oreille à t’en faire serrer légèrement la mâchoire. Ce n’est certainement pas le moment de la ramener sur le boulot qui doit être fait ou non. Il t’a pris sur le fait pour l’acte commis ? Bon dieu, tu en trembles de peur. Ceci étant ironique, tu le regardes à peine, fixant plutôt un point au loin, comme s’il n’existait pas, ce qui en devient bien rapidement plus intéressant. Têtue, tu es une vraie tête de mule. Mais alors que tu roules des yeux comme simple réponse à tout ça, les réflexions qui s’enchaînent à ton sujet finissant lentement par t’énerver de plus en plus... Au point que tu en lâches une simple réponse des plus claires « Non ». Pas besoin d’en faire plus. Pas compliqué. Sans pour autant bouger de ta place, tu finis par tournée la tête dans sa direction pour le fixer froidement alors qu’il venait juste de jeter sa clope. Quel gâchis. Sur le même ton, tu lui réponds :

« Non. Trois lettres. Un mot. Rentre-toi ça dans le crâne. J’en ai ma claque que tu m’utilises comme si j’étais un chien. Que tu me donnes des ordres comme si j’allais sagement obéir en fermant ma gueule. Y a des limites à ce qu’un journal peu publié ou non. Mais toi, tu t’en fous, tout ce qui compte au final, c’est de faire la une des journaux, quoi qu’il t’en coûte. »

Tu soupires un bon coup, puis à ton tour, tu jettes la cigarette au sol à peine consumé, passant lacement une main dans tes cheveux tant dit que de l’autre tu en sors de ta poche la pellicule retirer de l’appareil photo. Tu avances vers en la lui donnant.

« Tiens, démerde-toi avec ça, puisque c’est si important à tes yeux. Mais ne comptes pas sur moi pour le reste. Tu veux la fin de ton article ? Alors débrouille-toi, tu l’as toujours très bien fait tout seul jusqu’à présent. Tu peux dire ce que tu veux au final, je m’en balance. »

Il finira son article comme un grand ; comme à son habitude quand tu n’es pas là. C’est surement ainsi que devait se terminer une journée aussi pourri, comme elle l’a commencé ; merdiquement. S’il compte t’insulter ou autre pour ton refus de travailler, qu’il s’en donne donc à cœur joie, ce n’est pas ce qui te fera revenir sur ta décision. Tu as assez donné pour aujourd’hui. Il est doué après tout, il saura comment mener son article à bien, s’il est aussi stupide que ça. Sans attendre plus longtemps, tu passes devant lui pour sortir de cet hôpital. Le laissant en plan. Tu assumes ton choix et les répercussions que cela aura. Parce qu’il faut l’avouer, il y en aura forcément. Mais pour l’heure, tu quittes les lieux sans te retourner. On ne peut pas dire que tu es réellement fière de ce que tu as fait, mais c’est surement mieux sans engendrer trop dégât. Enfin ça, l’avenir te le dira. Ou peut-être pas.




© Lae
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It where my demons hide [Ft. Nathan J. O'Brian]
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