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Seek & Hide; loin

Anonymous
Invité
Invité
2016-02-18, 21:50


Sven
ARNARSSON

nom ; arnarsson | prénom ; sven | âge ; 24 ans | sexe ; M | nationalité ; islandaise | origines ; islandaises| race ; altered | groupe ; ragnarök | occupation ; travaille au centre d'information | situation maritale ; célibataire | situation financière ; stable | habitation ; andromeda | theme song ; r.i.p 2 my youth - The Neighbourhood | pouvoir ; localisation :  il lui suffit d'une possession, d'un nom ou d'une image pour localiser précisément une personne dans le monde entier.

Tu regardes de loin, tu guettes et tu traques, la trace… Seek. Sven. S..Shhht.
Tu te tapies dans l’ombre, tu tisses des liens comme une araignée perchée, t’attaches les autres, et tu déroules le fil sur le vaste monde qui s’étend à perte de vue, mais pas pour la tienne.
T’as la solitude dans la peau et la mélancolie dans les os. Pourtant tu voudrais bien combler le vide qui se creuse depuis la mort de ton père, et la perte de ta mère, de ton frère, de ta soeur. De ta chair que tu ne portes que comme couverture au froid de ton pauvre squelette qui claque au souffle du vent. Peut-être pour ça que tu tisses les liens, pour ne pas t’envoler dans l’abîme du rien.
T’as les yeux rivés sur eux, deux boules de plomb attachées à des fils d’argent, incassables, immuables, qui te plantent au sol, et tu ne peux que tendre la main vers le lointain.
Tu sais pourtant où sont tes priorités, tes responsabilités, mais ce sont tes nécessités que tu gardes au fond de toi, pour toi, à toi. Comme cocon de survie, la vitalité de tes muscles et l’énergie de ton esprit. Parfois quand t’y repenses, t’en as des frissons qui parcourent tout ton corps engourdi de travail.
Parce que t’es ça aussi, un bourreau du travail, un fou du sport et de l’activité. Ton corps en mouvement pour oublier ton immobilité de coeur. Saturer ton monde de bruits, d’efforts pour invoquer le silence des morts. Tourner pour oublier, bouger pour oublier, t’éloigner pour oublier, courir pour oublier que tu n’es pas à ta place, que tu ne vaux pas grand chose, que tout ce que tu fais, tu le fais par rapport à eux, à elle. Ta mère, ta tendre chair, chère et tendre. Ton rendez-vous quotidien, ton monde perdu, ton ancre, qui te tire plus qu’elle ne te remonte à la surface du monde heureux, mais tu ne te l’avoues pas, parce qu’elle est, elle est et respire le même air que toi à t’en faire pleurer de bonheur, quand le soir, tu l’entends expulser l’air que tu respires, comme dernier lent et chaud échange de vos contacts.
Tu ne parles pas beaucoup, t’as assez parlé et crié. T’écoutes beaucoup, et on t’apprécie pour ça. Carré, à l’écoute, gentil quand tu le peux, la main sur le coeur, le parfait soldat, le bon ami, le gendre idéal, les pleurs sur la joue et le coeur noir de tout. La solitude comme une boule au creux des mains et le coeur lourd du lointain.


T’as la carcasse d’un dieu. Bien bâti, fondations solides, t’es un « V » comme victoire. Comme victime à l’intérieur. Ton corps, tu l’éprouves, et tu le mets à l’épreuve de bien des tortures. Tu l’étires, tu le tords, tu l’écartes, tu le craques, tu l’échauffes, tu le refroidis, tu le meus, toujours, toujours. Jamais au repos, toujours en alerte, parce qu’il n’y a que comme ça que tu le sens ton corps, sinon, t’as le coeur qui prend le dessus, et quand ton cœur prend le dessus, rien de bon n’arrive. Jamais laisser le coeur, jamais jamais.
T’as un rythme de vie bien réglé, à l’heure, comme une horloge. T’aurais pu t’appeler « Chronos » parce que c’est toi le chronomètre de ta vie. Le matin, tu te lèves, le dos engourdi des sévices de la veille. Tu lèves les bras, les étires, tu contorsionnes ton dos vers la gauche, et tu craques, c-r-a-c ce qui te serre de pilier, puis tu souris, satisfait d’entendre ton corps te répondre comme prévu. Puis tu vas dans la salle de bain et évite le regard de ton reflet, tu vas direct à la douche où l’eau brûlante vient encore une fois épouser ton corps d’une fumée chaude et éprouvante. Alors tout rouge, tout savonné, tu ressors, tu te brosses les dents avec énergie, parfois t’en fais saigner les gencives quand t’y vas trop fort, tu coiffes tes cheveux d’une main, tu check pour la seule fois de la journée ton allure dans le miroir et puis tu pars dans la chambre. Assis sur le lit, le rituel du matin, serviette autour de la taille, les coudes sur les genoux, tu fermes les yeux et tu les regardes. Parfois tu souris, parfois tu soupires, mais tes muscles se détendent quand tu sais où ils sont. Alors seulement après, tu t’habilles et tu pars au boulot, dans une forme olympique. T’aurais pu être Apollon tellement tu resplendis, tellement t’es énergique comme ça, ouais, si seulement tu l’étais, un vrai dieu, tu pourrais tout faire, tout diriger. Si tu pouvais, t’aurais tué Zeus et pris le contrôle de l’Univers et tout serait rentré dans l’ordre. Si seulement, t’étais vraiment Chronos, tu serais revenu en arrière, mais t’es rien de tout ça, t’es juste un mec qui fait son boulot et qui ne peut que regarder de loin le désastre que t’as pas su arrêter.
Quand tu réfléchis à ta vie, tu la vois toujours différemment que quand tu la vies dans le moment présent. Généralement, tu chasses ses idées en soufflant un grand coup et en reprenant tes activités, mais aujourd’hui t’as pas envie, t’as envie de revoir tout ça, de revoir tes souvenirs et d’y penser parce que ça fait cinq ans jours pour jour que tout a basculé. Et au lieu de souffler sur la bougie des anniversaires, tu respires l’air ambiant de la chambre blanche, et tu te laisses glisser dans le fauteuil qui a fini par prendre tes empruntes. Tu fermes les yeux, les mains croisées sur le ventre, et puis tu penses.

Déjà gamin, t’avais pris le choix d’avoir les épaules lourdes. T’avais la science de beaucoup de choses, et la sagesse de ne rien dire, même si tes poings serrés cachés disaient beaucoup sur toi. Tu leurs souriais, tu ne les inquiétais pas, t’étais là pour eux, pour elle aussi qui devait s’occuper de vous trois. T’as laissé passer ton enfance pour eux, tu le regrettes parfois. Tu regrettes de pas avoir été insouciant maintenant que le soucis ne quitte plus ton ombre, tu regrettes de pas avoir profité de tes bons temps, de les avoir trop rapidement écartés de ton chemin que tu traçais dans les sillons laissés par ton père que t’as du mal à voir partir encore aujourd’hui. T’essaies de te raisonner en te disant que c’était le passé, le seul problème, c’est que le passé, t’en as les conséquences aujourd’hui. T’as de la rancune, beaucoup, mais t’as pas le droit de la montrer, tu crois que tout le monde a assez souffert pour en rajouter une couche avec toi. T’as juste la mâchoire qui se serre et qui bouge sous ta peau, t’as juste les poings fermés et les jointures blanchies, et une boule qui gonfle dans ta gorge, qui éclate, très rarement en quelques larmes chaudes qui brûlent la peau de tes joues crispées de honte et de dégoût pour ce que t’es en train de faire et de ressentir.
Pourtant, tout semblait aller bien, avant. Quand le cap du père était à peu près supportable à passer. Quand vous étiez tous les quatre à sourire, à courir. Tu pensais que ta vie valait quand même encore, que tu pouvais faire beaucoup de chose, et que tant que vous étiez tous ensemble, tout irait encore bien. Tu l’espérais au fond de toi, de tout ton corps, tes tripes. Tout ton corps pulsait l’espoir. T’avais des rêves à quatre, t’avais des espoirs pour eux, maintenant t’as que leurs traces et une profonde déchirure qui fend ton coeur et ton âme. T’as toujours été en retrait, toujours à surveiller toute ta famille, parce que tu sentais que si toi tu ne le faisais pas, alors qui sait quelle catastrophe pouvait arriver. Mais t’as échoué dans ton rôle de surveillant, de papa remplaçant. Ouais t’as bien échoué, si bien que tu ne t’en remets toujours pas, et que tu t’en remettras jamais. Tu remets même en question ta progéniture qui n’est pas prête d’arriver, mais tu refuses tout rôle paternel, même si tu agis comme tel de loin parce que tu peux pas t’en empêcher.

L’Eldorado s’était enfin présenté à toi, quand ta mère décida une fois pour toute d’aller à Equilibrium. Nouveau départ, nouvelle vie pour vous tous, ça t’enchantait, tu pensais reprendre le cours de vos vies. T’avais 17 ans, mais c’était il y a bien longtemps.

Vous vous étiez installés, tranquillement posés; t’avais tes rêves que tu voulais réaliser, t’étais un puits à espoirs, une boîte de rêves à la pandore, tu les menais, tu croyais les avoir dans le creux de tes mains chaudes, douces et aimantes, mais il avait fallu d’un éclat, un éclat luisant, brillant et tranchant pour séparer tes deux mains et laisser tomber la boule de ton espoir par terre. Alexìus. Toujours lui. Au fond de toi, t’avais toujours su qu’il serait un gosse à problème, mais t’espérais qu’il soit toujours plus que ce que t’espérais pour lui. T’as toujours trop cru en lui, en sachant pertinemment qu’il ne fallait pas, mais t’y pouvais rien. Dans ses sourires d’antan, tu te perdais comme dans un océan de bonheur, et si tu rajoutais celui de ta sœur, t’étais aveuglé par des étoiles de joie, et quand tu regardais les yeux de ta mère, t’étais enveloppé dans un drap de douceur, et tu pensais qu’à quatre, vous étiez intouchables, immuables, inséparables… Seulement t’avais pas vu la menace grouiller de l’intérieur. T’avais pas vu Alexìus changer.
Il t’a appelé en panique, et t’es venu aussi vite que t’as pu. Mais tu t’attendais pas à trouver ça. A trouver ta mère allongée, morte de l’extérieur. T’avais la rage en toi, t’avais cette grosse boule dans la gorge qui demandait qu’à exploser en millier de gouttes d’eau, t’avais envie de hurler, de le frapper avec tes poings serrés, durs comme la pierre qu’est devenu ton cœur. T’avais envie de le consommer, de le voir partir en fumée, loin, et de souffler dessus pour accélérer l’éloignement, la disparition, l’anéantissement. Mais t’as rien fait parce que tu comprenais pas, tu comprenais pas pourquoi, comment, tu savais pas comment réagir. Parce que tu savais que maintenant, être là ne suffisait plus, et qu’il fallait faire quelque chose. Mais quoi, t’en savais rien, comment, t’en savais pas plus, tu savais juste que si tu ne te contenais pas, vous ne seriez plus que deux chez les Arnarsson. T’as tenté pleins de trucs, t’as même prié, mais elle n’est pas revenue, toujours pas. Tu l’as amenée à la clinique avec les autres, et tu t’es roulé dans le silence. Le silence du recueillement, le silence pour reprendre tes esprits, essayer de te calmer. T'as tenté de reprendre un rôle majeur avec Solveig mais elle s’est échappée, comme tout ce que tu tiens dans tes mains. Tout finit par partir, sans que tu puisses les retenir.

Maintenant t’as rejoint les ragnaröks, t’es au centre d’informations, t’as un boulot, une vie, une maison. Vide.

T’es dans la chambre de la clinique. Et tu passes tes mains sur ton visage, férocement, tu le frottes, tu passes les ongles dans tes cheveux que tu finis par tirer avant de te redresser, les coudes sur les genoux, encore assis dans le fauteuil. T’as le souffle court, les yeux rouges, et tu n’oses pas la regarder. Tu souffles un bon coup pour tout évacuer, mais t’y arrives pas, parce que malgré toi, t’as tes fils d’argent qui te lient à eux et qui vibrent selon les battements de ton coeur, qui te rappellent qu’ils sont là, qu’ils vont bien.. qu’ils vont mieux sans toi. Tu redresses finalement ta carcasse et étouffe la boule qui monte dans ta gorge dans un râlement, tu t’approches d’elle et lui prends la main que tu serres fort, très fort avant de l’embrasser. T’aurais aimé lui raconter tellement de choses, mais rien ne sort. Elle te manque, ils te manquent terriblement et tu ne fais rien, parce que tu sais pas quel rôle tu dois jouer. Tu n’es plus un enfant, tu n’es pas un père, t’es un grand frère, mais à quoi ça sert, si tu ne fais que couler ?
much luv bb, le crush de l'année. btw merci à Hanni de sa réactivé eheh. J'ai versé ma larme, j'suis nazeeeeee !


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Anonymous
Invité
Invité
2016-02-18, 21:54
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA-...-AAAH.
mon dieu. mon dieu. mon dieu.
si tu savais à quel point je T'AIME. ♥♥
je. je. je. je. je. blushus

édito à somnifère : rageuse
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Somnifère
Somnifère
IS IT TOO LATE NOW TO SAY SORRY ?
2016-02-18, 21:58
BORDEL JE T'AIME TELLEMENT DEJA
j'ai
tellement hâte
la meuf qui met trop de pression trkl
MERCI ET JE FANGIRLISE ET EIRUTHJGER JE SUIS TROP CONTENTE QUE TU AIES EU UN CRUSH ET JE JE JE
je blush en vrai genre je pensais pas qu'il allait autant plaire jeeeeee
BON COURAGE POUR LA SUITE et je t'enveloppe d'amour et de drama
et si tu as besoin de quoi que ce soit je suis lààààà
♥♥♥

(Et Ana dégage tu fais bugger la largeur du forum tu pues)
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Côme Kowalski
Côme Kowalski
2016-02-18, 22:06
Mais regardez-les, ces deux-là, c'est bon elles se sentent plus là. Seek & Hide; loin 3005525477
En même temps je ne peux qu'approuver ce choix de pv. Cette famille est cool. Ton frère et ta sœur sont cool. J'les aime et je t'aime déjà.
Allez, bienvenue toi. Seek & Hide; loin 768019818
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Anonymous
Invité
Invité
2016-02-19, 12:23
MAAAAH JE C PS KOI RP sa mère devant tant DAMOUR. MAIS. MERCI. LUV. Jsp ne pas vous décevoir, pression pression.
BTW, JE POUVAIS PAS PASSER A COTE DE THE NEIGHBOURHOOD, ils m'appelaient tellement, tellement j'ai le coeur qui fond ;-; (va réserver ses places pour mars)
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Anonymous
Invité
Invité
2016-02-19, 15:43
THE NEIGHBOURHOOOOOD ♥
pbbttt j'aime sven et aaa islandais aa aaaaaaa ♥

lovu. ♥
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Somnifère
Somnifère
IS IT TOO LATE NOW TO SAY SORRY ?
2016-02-19, 17:40
Seek & Hide; loin Giphy
Sache que tu m'obliges à être entre un état euphorique et dépressif
C'est mal
Mais t'as absolument compris le personnage bb, je. tu le sais déjà mais c'est parfait ♥
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Anonymous
Invité
Invité
2016-02-19, 17:43
THE NEIGHBOURHOOD YAAAAAS.
Luv too.

Somnifère : yaaaas, jtm aussi btw, je suis toujours là pour éponger tes joues. Enfin, toujours, j'sais pas, mais j'suis là.

& fiche finie ! Cimer albert pour la lecture, toussa toussa ❤︎
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Zephyr
Zephyr
Seek & Hide; loin Tumblr_inline_nr72sgYwNL1txlwvy_500
2016-02-20, 11:17

bienvenue sur daftland !

Le pv de base dépotait déjà pas mal mais ce que tu en as fait c'est trop cool ** Je valide ♥
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