Moon chasing, satellite racing, show me those electric bones !

description physique - Souffrant d’Ostéogenèse imparfaite, Nico a un physique particulier. Plus petite que la moyenne, elle est également très mince voir maigre, on dirait une gamine fluette qui n’a pas fini de grandir. Ça l’agace mais elle a bien dû s’en accommoder. Il y a des jours mêmes où ça l’amuse. L’on sous-estime souvent sa force, elle a l’air si inoffensive ! Sauf qu’à cause de sa maladie, et grâce à la technologie, on lui a renforcé les os au point de les rendre incassables, comme s’ils avaient été renforcés avec de l’acier. Tout son corps a été modifié à cause de sa maladie. Sa peau pâle est très résistante, c’est vraiment rare qu’elle saigne, d’ailleurs ça l’effraie quand ça arrive. Ses articulations, ligaments et compagnie ont été stimulés avec certains produits afin de les rendre plus rapides et surtout solide, pour supporter ses os. Évitez donc de lui toucher le visage, puisqu’elle peut briser vos doigts avec sa mâchoire. Autre détail expliquant sa race : ses yeux. Sa maladie dans certains cas altère la vision, aussi il a fallut remédier à cette défaillance. Ses yeux sont donc une sorte de caméra analysant très rapidement tout autour. Elle est capable de fixer (une sorte de screen) certaines images qu’elle peut envoyer à un ordinateur. Certains soupçonnent que ses yeux sont en permanence connectés à un ordinateur, aussi prennent ils leurs précautions face à elle.

à propos de toi - Bonjour bonsoir ! Je suis Sid, une nana relativement tête à claque. Je fais des blagues carambars si ça vous intéresse ! J’ai trouvé votre fofo via les partenariats, et comme je ne RP pas beaucoup ailleurs en ce moment, j’ai eu besoin de nouveau et me voilà ! J’espère que mon personnage vous plaira, je suis un peu déçue de la façon dont j’ai tourné certains détails, j’améliorerais ça en jouant !  
Et aussi, ne sachant pas trop où le placer, l'ava IRL c'est Findlay ♥

Histoire -

‘'NICO TUYAA ABBOTT !’’ Pire encore que les glaçons de moutarde, que le bruit des ongles sur un tableau, qu’un couteau qui grince sur le fond d’une assiette, ou que les beuglements d’un cochon qu’on égorge, plus effrayant qu’une compilation épileptique de tout les Saw ou d’un épisode des teleteubés, ce moment flippant où ma mère crie l’intégralité de mon patronyme. Quand j’étais petite, ça voulait dire que j’avais fait une connerie, et une grosse. Ou une petite en fait. Ouais, ma mère aimait bien rendre ses tripes à chaque fois qu’elle m’appelait pour m’engueuler. Mais on s’y habitue, si si je vous jure ! D’ailleurs, quand elle a récidivé à l’instant, je n’ai fait que sursauter ! Avant, je me transformais en ninja pour me trouver une planque, en espérant que ma mère oublie en une fraction de seconde qu’elle devait me gronder.
Et puis maintenant, j’enlève mes écouteurs de mes oreilles, et je la rejoins en priant pour qu’elle ait développé alzheimer, avec l’âge c’est probable vous savez ! Mais en même temps, je sais aussi que c’est vain, puisque ma mère est la femme qui se souvient de tout, oui parfaitement. Impossible de mentir avec elle. Ou alors, on appelle ça un détournement de la réalité, et ça doit se travailler sur la durée, proprement. Il faut que ce détournement de réalité devienne notre réalité. Sinon SCHBAM ! Coup de spatule et autres instruments de torture culinaire. Oui parce que ma mère cuisine un peu, enfin, j’appelle ça des expériences scientifiques, et essaie depuis des années -sans résultat- de la persuader de tester ça sur des rats et autres bestioles. Parce que c’est aussi mauvais qu’un médoc, je suis sûre qu’elle a dû trouver des remèdes pour un tas de maladies, à défaut de remplir mon estomac.
Du coup, c’est mon père qui sauve la mise. Oui oui, mon paternel. Quoique, vous ne le connaissez pas. Pour vous faire une rapide description du personnage, c’est le genre de type presqu’amorphe derrière sa tablette, tranquillou pépère dans son canapé, et qui passe la journée à ne rien faire. Pardon, monsieur travaille. Et quand il se lève, c’est soit pour aller aux toilettes, soit pour échanger certains ingrédients des préparations maternelles. Mais ça, il le fait quand il a faim, donc de façon très irrégulière et hasardeuse.
Vous pouvez vous demander comment, à 26 ans tout rond, une fille comme moi fait pour rester habiter chez ses parents. En sachant que la cuisine n’est pas très bonne. Non, en fait je n’habite pas vraiment chez mes parents. Je suis une grande, on se calme d’accord ? C’est juste que mon chez moi est un studio coincé en haut de l’immeuble où mes parents habitent, et étant donné que je cuisine aussi bien que ma mère, je préfère éviter d’exploser les quelques mètres carrés qui m’appartiennent. Donc je squatte régulièrement le canapé, les pieds à côté de la tête de mon père, et le dos sur le siège. Ma mère déteste quand je m’installe comme ça, parce que mes cheveux font serpillère. Mais étant donné qu’elle est complètement maniaque, et vu toute la thune qu’elle a investi dans la technologie pour le ménage, je ne m’en inquiète pas plus.
De toute façon, c’est rare que je reste très longtemps au contact de mes parents. Déjà parce que mine de rien, je bosse ! Ma mère est très fière de mon travail d’ailleurs. Sergent au sein du Ragnarök, rien que ça. Elle trouve que ça claque, elle aime bien le rappeler à qui veut bien l’entendre. Moi par exemple, parce que je me tiens mal pour un sergent. Ce n’est pas non plus un grade très très élevé hein, pas de quoi casser trois pattes à un canard radioactif. Assez pour que je puisse diriger un peu, mais rester sur le terrain. ‘’Maigroulette comme tu l’es, tu travailles au sein du Ragnarök ?’’ après on me demande si je fais la paperasse, où que je suis agent d’entretien au QG. Du coup, plutôt que de répondre avec ma voix, c’est mon corps qui parle. En trois secondes, j’ai fracassé la table juste derrière l’inquisiteur, le temps de sauter et d’exploser mon talon sur le plateau. Puis je craque les jointures de mes doigts, parce que je trouve que ça fait vachement classe, surtout quand on vient de détruire du mobilier. En général, on n’ajoute rien, en hochant simplement la tête.
Pourtant, quand je suis née, c’était pas gagné. C’est peut être ce qui exacerbe la fierté de ma mère quand à mon actuelle vie. Mais il ne s’est rien passé de réellement inquiétant. Du moins, pas pour la médecine actuelle, ou le compte en banque parental.
Ils ont galéré apparemment, avant que ma mère ne tombe enceinte. Du coup, j’étais un peu le bébé de la providence. Régulièrement, elle prenait en photo son ventre tout rond, pour montrer à quel point elle était heureuse d’enfin avoir un truc dans le bide. Sauf que j’étais mal formée, comme le montrait les différentes échographies à l’époque. Risquant de mourir prématurément, on fit ''accoucher’’ ma mère plus tôt que prévu, pour me transférer dans une couveuse artificielle. En fait, je suis atteinte d’Ostéogenèse imparfaite, comme Toulouse Lautrec. La maladie des os de verre, ça parle un peu plus. Heureusement pour moi, la médecine a pas mal évoluée depuis Lautrec, puisqu’en plus de finir ma croissance tranquille dans une couveuse, on m’injectait en permanence divers médocs pour que mes os se solidifient plus facilement. Le petit soucis (puisque rien n’est parfait), c’est que je n’allais pas grandir incroyablement (déjà que j’ai des ancêtres asiatiques, si en plus on vient me compliquer la tâche…) et que mes os seraient bien plus solides que la normale. Quoique, c’était plutôt un avantage au final. Il a fallu également travailler sur mes ligaments pour qu’ils puissent se muscler le plus vite possible, afin qu’ils ne se déchirent pas à cause de mes os. Quand on a estimé que je pouvais sortir de la couveuse, j’étais âgée de trois mois. Ensuite, tout au long de ma croissance, j’ai été suivie par un médecin, on m’a injecté divers produits, étalé certaines crèmes sur la peau, pour qu’elle soit plus résistante, et un tas d’autres trucs chiants. N’empêche que j’ai toujours eu la même dégaine de jeune fille malingre, toute petite à la peau translucide. Alors au début à l’école, on faisait attention à ne pas me bousculer, comme si on allait me casser. Puis je cassais une table, ou une chaise, et là, on évitait de me bousculer, non pas pour moi, mais pour eux. Ce corps à même failli m’empêcher d’entrer dans le Ragnarök ! Du coup j’ai défoncé une porte d’un coup de genoux, et j’ai pu me présenter. J’ai travaillé dur d’ailleurs, parce que même si je tape fort, il faut que je tape juste. Et que mon esprit percute un peu aussi. Bon, en ayant une mère asiatique et perfectionniste, je ne pouvais pas faire autrement que bosser comme un boeuf.
Comme je suis une fille trop D4rk #satan, vous n’en saurez pas plus sur ma petite vie, du moins, pas pour l’instant ♥