Une douleur te saisit. Poignante, brûlante comme mille soleil, tu pose un genou au sol. Dur, sec et sadique, elle te saisit avec tant de rage que son corps entier en trembla d’effroi alors que l'air manque. Ouvrant la bouche, forçant tes lèvres meurtries, forçant tes dents claquante, tu inspire. Tu remplis tes poumons de vie et de carbone. Toussant, tu rejette de nouveau tous ce que tu prend, tous ce qu'on t'offre et qu'on t'oblige. C'est malheureux, mais tu t'entête alors que ta vision est toujours baignée dans le noir. Tu essaye de nouveau. Tu prend ce qui te reste de courage et tu te relève. Grimasse, douleur douleur, tu désire abandonner de nouveau, mais quelques choses te tire de ton moment. De cette bulle de lamentation. Tu l'entend. Comme une voix lointaine, effacé par l'environnement et les années, tu tend l'oreille. Tu pense aux rêves qui t'ont bercé depuis les cinq dernières années. Tu pense au moment où tu te réveillait en sursaut lorsque tes mains ne le trouvait pas. Mais là, tu l'entend. Sa douce voix, celle qui te caresse le corps, celle qui berce ton âme et ton avenir, elle t’attire et elle te fait avancer. Malgré la douleur, malgré le sang coulant à quelques endroit sur ton corps et sur tes lèvres, tu avance vers ton adonis qui s’avéra être l'enfer que tu as voulu quitter.
Tes jambes tremble. Tu joue avec tes mains en sortant de l'ombre et cacha ton visage lorsque la chaleur se jeta sur ton corps. Tu fonce les sourcils et lâche un petit cri alors que, doucement, après quelques secondes et avec prudence, du découvre tes yeux et aperçoit les flammes. Grande, terrifiante et puissante, ton corps se remet à trembler. Tu ne comprend plus. N'avait tu pas passé de l'autre côté? Était-tu encore là bas avec elle. Alex. Cette chère et tendre Alex. Plus tu pense à elle, plus les choses te revienne et plus tu te déteste. Parce que, il y a cinq ans de cela, tu promis de la protégé. Tu le promis à lui. À cette voix. Tu accepta toute les conditions et le laissa partir là où jamais il te reviendrait. Là où tout le monde veut allez pour en terminer avec toute cette souffrance. Tu avais promis, mais rien ne se passa comme prévu. Oh bien sûre, tu te console en te disant que tous cela était un accident, mais cette journée ne pourra jamais s'effacer de ta mémoire.
Il faisait froid ce matin là. Le vent souffrait sur les êtres des rues avec un certain mépris. Il voulait les voir partir de son passage, de son univers et si elle l'avait mieux écouter ce matin là, elle aurait su tous ses secrets au travers de ses longs hurlement grave. Comme celui qui annonçait leur arriver. Comme celui qui les préviendrait de leur venu. Eux, les êtres dont l'humanité représente la vermine. Ceux dont la fonction était la mort. Elle aurait su qu'ils avaient trouvé leur cachette et vous l'auriez défendu, ou vous auriez fuit. Mais en ce froid début de journée, ils ont tous détruit. Ayant réussit à passer les barrière de protection, elle se rappelait avoir attraper la main d'Alex. Sans mots, sans explication, elle avait filer à toute vitesse dans la pièce du fond où la machine se trouvait. La raison de leur visite. Cette merveille de technologie qui permettait au gens de voyager vers le passé. Elles l'avaient trouvé par hasard lors d'une patrouille et pendant les cinq dernière années, ce fut votre devoir de la protégé. Toutefois, alors que la porte de métal les protégeant explosa, elle fit ce qu'elle n'attendait pas. Alex. La plus belle. Elle et ses longs cheveux doré. Celle qui était devenu à ses yeux la plus précieuse des étoile, la poussa dedans. Sans pouvoir se retenir, sans pouvoir s'accrocher à quoi que ce soit, la rousse fut envoyer dans un meilleurs monde par sa protégé. Dans un monde dont on vantait la grandeur et la paix. Dans un monde où elle serait maintenant prisonière.
Mais la réalité te paraissait si semblable alors qu'une nausée de saisit. Couvrant ta bouche d'une de tes mains, tu ne pu retenir le flot qui se vida de ton être, mais tu te ressaisit rapidement. Il avait recommencer. Toussant, te maudissant d'avoir couvrit le son à cause de ta faiblesse physique, tu resta en silence alors que le crépitement du feu autour était ta seule distraction. Tu te retenais, tu gardais ton souffle au plus creux de toi et la prière que tu te chuchota pour toi-même fut entendu. Il parla de nouveau. Sans mots distinct, tu n'avais que faire de leur signification, mais tu recommença à marcher. Un pas, un autre, d'abord à la marche, ton impatience te fit accéléré et tu arriva au bout de la rue où un homme changea ta vie. Tu l'observa. Il était de l'autre côté de la rue à te regarder, te juger à cause de ton état, mais la fumer des immeuble en feu cachait ses traits pour toi. Plissant les yeux, essayant de mieux le voir, tu n'attendis pas plus longtemps avant de traverser la rue où un homme aux cheveux de feu te fit face. Tu resta perplexe par la couleur, étant la même que la tienne, mais tu ne perdis pas plus de temps alors que, les larmes montant à tes yeux, tu t'agrippa à celui-ci. Tu t'accrocha à la seule forme de vie que tu croisa et laissa le tout retomber.
Ce ne fut que quelques heures plus tard que tu appris que tu étais dans le passé. Là où la vie était facile, mais pas en cette nuit meurtrière qui ressemblait à celle que tu passais avant, il y a à peine quelques heures de cela.
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