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▬ prépare moi un kebab starfoullah ; hoaqin

Anonymous
Invité
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2016-03-02, 00:09

ft. hoaqin

kya isaac est trop uke


Abattement et souffle erratique, le chiffon assombris dans ta main semble cramer tant qu'il est bousillé. Tu lève le regards vers l'appartement de misère et tu soupires tant le bordel te désespère. Pourquoi tu faisais ça déjà ????? Et tu te rappelles d'avoir gueulé un peu trop fort, de t'être plains pour finalement pas grand chose. Le bordel, le bordel, le bordel, toujours le bordel, plus Hoaqin qui branle rien. T'es comme une meuf fragile à t'occuper des tâches ménagères avec tant de passion. Récemment t'avais pas eu le temps, t'es trop occupé avec le travail pour ce genre de futilité.

Mais ça t'avais mis en rogne tout particulièrement aujourd'hui. Pourtant t'as pas tes règles, mauvaise blague. La poussière vole un peu plus et les déchets disparaissent, tu te sens tyran d'un peuple d'objet. Tes bras peinaient sous l'effort constant et tu combattais l'envie d'une sieste imminente. Encore un peu. Plus que le salon, plus que la cuisine. Tu lâches un bruit sourd et jure mentalement. T'es stupide, tu l'as toujours été, du moins quand les sentiments prennent sur le pragmatisme. Tu prends des décisions idiotes et finis par regretter. Comme maintenant, comme avant. 'Fin c'est pas comme si t'était alone, y'a Hoaqin. Encore, toujours jusque les verres viennent ronger ta chaire. Pas aujourd'hui mdr, nique toi putain je fais quoi idk.

Non en vrai t'aime bien ranger, t'as l'impression de faire de l'ordre dans ta tête en même temps. Pourtant c'est le plus grand des foutoirs, avec du monochrome et des fleurs. Alors tu continues, jusqu'à ce que tu vois blanc, jusqu'à ce que l'autre rentre.  Plus que le salon. Les meubles redeviennent comme neuf, le canapé reprend toute sa splendeur et les couleurs redécouvre leur vigueur. Ça a rien d'incroyable, c'est un appartement de ksos mais c'est mieux que le goudron dégueulasse de la rue. T'as eu la chance de goûter à tout, le marbre froid, les matelas chauffant, la pisse animale sur le sol et l'étreinte d'un autre homme. Putain c'est vraiment homosexuel dit kommas. Je sais pas.

L'espace d'un instant  t'hésites à allumer la lumière. Les volets fermé te plonge dans un clair-obscur étrange pas pour le moins désagréable. Tu t'arrêtes un instant, le regard virer sur quelques poussières volante et t'aimerais penser. Y'a rien d'intéressant à penser à par lui. Parce que y'a rien d'autre dans ta vie. Ta culpabilité et Hoaqin. Des fois t'aimerais qu'il disparaisse, qu'il disparaisse, ne revienne jamais et que ça te fasse rien. Absolument rien. Parce que t'es dépendant comme un junkie et sa coke, parce que des fois t'aimerais avoir des crises de panique, que ton coeur cesse de battre et que tu sois réveiller par un cauchemar. Tu te sens bien quand tu chiales, quand la  peur t'ébranles et que tes idées noires submergent.  Y'a rien de plus humain dans ta vie.

C'est putain de glauque. Tu es putain de glauque. Nettoie, nettoie, jusqu'à ce que ton esprit s'efface.  Tu crains et tu devrais être seul pour ça. Tes mains te brûlent, à cause des produits et de la crasse, encore un peu et t'as finis. C'est juste quelques carreaux poussiéreux.  


Finis. Genre enfin, t'admires un moment l'appartement propre. Rien à avoir avec le manoir ou t'avais l'habitude de loge mais c'est propre. C'est tout ce qui compte pour le moment, tu lâches alors ton chiffon de malheur et ramène tes mains contre ton torses les massant douloureusement. Ta peau supporte pas ce genre de produit mais tu trouvais pas tes gants. Tu songes un court instant à te les rincer mais un bruit retient toute ton attention. Ça venait de l'entrée.

« Hoaqin ? C'est toi ? » Passant une main dans tes cheveux, tu te diriges vers l'entrée d'un pas léger et satisfait. Un sourire en coin orne des lèvres trop pâles.

« J'ai gagné. » Ton sourire s'élargit un peu plus encore à la vu de Hoaqin. Bombant légèrement le torse — ça sert à quedal mais c'est pour te donner l'air un peu plus viril genre starfoullah tu fais 162cm — tant que tu es fier pour si peu. Tu finis par lâcher un faible rire et redevient pour le temps d'un instant le gamin innocent que t'avais l'habitude d'être.

Alors tu tentes de d'écarter pour lui laisser le chemin libre, satisfait de toi-même. Et tu fais un faux mouvement. Tes jambes s'emmêlent, l'équilibre se perd et tu chutes en avant. Ta tête rencontre le sol, le sol rencontre ta tête et t'es tellement choqué que t'oses même pas lâcher une plainte. Tu venais de te ramasser pathétiquement comme pour venir décrébiliser, miskine.
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Anonymous
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2016-03-03, 21:09
les fleurs x isaac x hoaqin
ptin j'ai honte MDRRRRR
L'air sent le poivre, le vent les amandes séchés. Tu y glisses des souffles sucrés, éventrés dans une chaleur oisive, qui font de jolis vers muets. Baladé, trainé au cœur d’intestins frais, la mare écarlate éclabousse tes obsolètes bottes, rend hideuses tes semelles d'hiver. Le temps navire comme une douce étreinte contre ta chair ; et tu sens sur une dalle démodée geindre les tintements de tes pas. La foule que tu bouscules est toujours sans fleur de rhétorique ; elle mâche bruyamment des brouillards intenses de muscles et d'os, rit trop fort et chiale contre toi. Mais, trop enivré par l'horizon, tu ne fais pas attention. Tes yeux soûlés ne perçoivent que des ombres colorées, grinçantes contre tes paupières, puantes dans ta bouche. En rythme avec ces papillonnements, tes doigts caressent des poches huileuses, grasses d'or, que tu fourres dans ta veste à la manière d'un crevard démesuré. Ta silhouette, devenue effluve florale, bave son relent sur les immondes bestioles dont tu dérobes la bourse. Trop occupé à compter tes forfaits, à t'amuser dans la volée, tu te fais fort pour ne pas sortir de ses artères ; cependant, tu finis par forniquer ses veines à la réminiscence du soleil rompu.

A ce moment là, ta tête s'éveille.
Et tu te dis, qu'il est beau ce coucher de soleil. Alors que t'en avais rien à foutre, car Isaac l'était plus.

Tu ris doucement, là, protégé par une lumière déclinée, de l'ineptie de tes songes ; puis, ravalant tes peines, ton corps s'élance, fait marche arrière, sait où se condamner. Et c'est encore les mêmes rituels ; surtout lorsque tu cours à ta manière. Car l'air sent encore le poivre, même si le goût disparait graduellement, et les boursoufflements deviennent amères. L'erratique froideur contre ton épiderme, et le doute s’immunise, la peur grondante s'endort. Ton cœur qui ne bat plus. Il ne te faut que quelques secondes pour talocher ta porte d'entrée, alors que ça fait des heures que tu marches sans rien penser. Une flache cramoisie en bas du pallier te ravie, provoquant ton euphorie à la vue de ta charpente fleurie. Tu te sentais niais ; pourtant, tu ne souriais.

« Hoaqin ? C'est toi ? »

Ton enjôleur en égale pureté. Tu redresses des lueurs vives sur sa cachexie. Son humeur pimpante te surprend presque, mais tu ne recraches aucune prose phatique. La peur revient, tordant tes muscles dans des soupirs humides. Tu dois t'essuyer le front. Il pensera que tu as trop couru et que tu sus. Mais de quoi es-tu tant effrayé, Hoaqin ?

« J'ai gagné. »

Il te faut quelques temps avant d'assimiler ce qu'il te dit. Son sourire vainqueur, un peu trop cocasse pour demeurer fier, te fait de retour sourire ; tandis que tu reprends lentement connaissance des circonstances. Il doit sûrement parler de votre paris débile. Un défi vraiment con que t'avais imaginé pour qu'il te fiche la paix, mais qu'il a pris au pied de la lettre. Désormais, son rire, bien trop faible pour dérober à l'onirique, te magane un peu plus la poitrine. Tu le trouves mignon ainsi. Et ça t'affole. Il t'affole. La terreur éjectée survient vengeresse et tu te noies sous ses aisselles pellucides, naviguant avec maladresse comme un sot patouillard. Mais dans le même temps étrangement apaisé, comme si désormais l’effroi trop taquin était ton foie, calme les liqueurs sauvages de ton corps, soulage ta gorge qui ronfle à l'idée de répliquer.

Tu as peur. Tellement peur Hoaqin. Mais quand tu te fais courageux, cette peur te manque. Et ça t'effraie encore plus.

Heureusement, avant que tu ne puisses t'enfoncer plus encore dans ta paranoïa, tu perçois pas loin de toi un bruit démentiel qui te fait chuter dans l'hystérie. Isaac contre le sol. Non, plus exactement, le cul d'Isaac devant ta face. Trop choqué d'abord pour réagir promptement, tu laisses une cascade d'euphorie dégueuler, à gorge déployée devant sa gueule pétée, quand tu piges ce qu'il vient de se passer. Bordel Isaac est trop uke. L’opprobre que tu lui adresses en est témoin.

« D'accord- »

Hah haha a hahaha aha aha aha aha

« ---t'as gagné. »

Et tu ris encore plus, raillant de ses dernières paroles avant l'humiliation et la destruction totale de sa fierté. Passage fortement hachouma de la journée. Regardant un peu plus en détail ce que tu pouvais voir de l'entrée, tu siffles bruyamment ; afin de signifier tes félicités. On ne sait pas si tu es sincère, si tu es vraiment fier de son ménage ou pas, surtout que t'aurais pu le faire en quelques secondes ça. Mais tu t'abstenais de le revendiquer. Ça pourrait heurter sa fragilité. Enjambant sans compassion le corps compressé d'Isaac, tu enlèves tes chaussures dégueulasses et retires ton manteau, faisant rebiquer les clapotis des objets trouvés. Volés pardon. Mais tu n'y fais plus attention ; leurs cohue-bohus résonnent comme le patois d'un barbon. Agrippant des vertiges végétales, tu sens pour la toute première fois les lilas. Une cohésion singulière entre le sucre et la boue.

« Félicitations pour la victoire. Et ton ptit cul aussi, c'était agréable. »
Une fleur callipyge.

Te penchant en même temps que chaque mot éclaté devant sa face, tu retiens quelques rires moqueurs, esquissant tout de même un étirement carnassier. Plein de jactance, tu lâches des fleurs sans importance au dessus de sa tête, comme le jour de son baptême, où il a pu accéder à une certaine verdeur. Tu le trouves beau ainsi, chatoyant dans des illuminations gracieuses. Ses yeux au milieu de ce bouquet fané ressemblent à une rosée, selon le teint blafard du matin et des saints qui y rayonnent. Ils ne se doutent guère de quelle Divinité t'y adores. Et plus tu plonges dans ta laborieuse introspection, et plus tu sens ta peur te retenir, au loin. Ayant été séduit par sa maladresse, comme d'un rappel, ta coque claque contre le rivage. Tu exondes des brumes marines, avec le parfum des foules. Retrouvant le sourire sous l'angoisse naissante.

« Du coup, tu préfères que je t'embrasse tout de suite ? » Tu ris. T'aimais l'embarrasser. Des fois, tu te demandais même s'il croyait des choses sur vous deux, notamment à cause de ton homosexualité. « Ok, sans déc, c'est quoi mon gage ? »

La couleur de ton aigreur prenait l’encens d'un lys. Tu laisses ta main se saisir d'une pétale que tu poses tendrement sur ses lèvres, les ourlets vainqueurs. Yeux rieurs. Geste cathartique. Individu fat.
codage par idk sur un ls
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Anonymous
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2016-03-05, 21:57

ft. hoaqin

JE FAIS KOA????? kya


Le sol a une odeur de produit parfumée et la fraîcheur d'un matin de printemps. Dans l'immédiat ces flagrances t'apparaissent honteuses et le froid contre ta joue brûlante d'embarras ne change pas. La douleur te taraude et tu sens un peu pathétique pour pas dire uke. Et l'enjouement résonne dans le reste de l'appartement, ton cœur est démuni face à ça. D'accord. Il rit un peu plus, et t'as l'impression qu'il chante ---t'as gagné.

T'aimerais qu'il s'arrête de rire pour que tu puisses profiter de ta victoire. Tu hisse la tête, le corps placide, le regard terne - t'avais grave le seum en vrai - sa silhouette t'affrioles alors qu'il t’enjambe, t'es tellement tenté de le faire embrasser le plancher. Mais c'est un ship grave starfoullah genre edward x jacob, tu subsistes passif.

Tu clos les yeux un instant, régulant ton souffle, calmant ton cœur battant. Tu les rouvres inhalent des effluves aériennes. Et les fleurs décroissent sur ton crâne, le temps d'un instant tu te sens roi, la couronne décorant les cheveux platines. Les yeux s'élargissent un peu plus, confus, cherchant Hoaqin un peu plus.


Félicitations pour la victoire. Et ton ptit cul aussi, c'était agréable. C'est le moment fatidique où le uke  se met à rougir genre starfoullah doki doki. Le faciès s'embrase, consterné le regard défaille, et quelques pétales chutent sur le sol. Son visage se rapproche sans que tu n'y fasses trop attention, les ondées de pétales le rendant davantage attrayant, tu n'oses esquisser un seul sourire, t'as le souffle démuni et le cœur fugace. Du coup, tu préfères que je t'embrasse tout de suite ?

T'as voulu réagir à la hâte mais tu babilles pathétiquement, la chaleur monte et tu te sens fébrile.  Ok, sans déc, c'est quoi mon gage ? Tu sais pas, tu sais pas, tu sais pas, tu sais plus. Plus tu l'observes avec ses sourires enjoués plus t'as l'impression de perdre le contrôle. Peut-être même exploser lorsqu'un pétale de lys vient se poser alors sur tes lèves. Foutage de gueule et bouche en cœur. Cœur qui contre ta poitrine martyrisé, t'aimerais te mettre à chialer, que ton souffle se coupe, réclamer un baiser.

Mais t'aimerais pas avoir l'air trop désireux, tu baisses un instant les yeux, te pensant un tantinet lubrique. En vrai j'ai pas internet donc idk. Tu respires, toujours respirer. Tes mensonges sont pulmonaires, askipparait. Finalement, tu relèves la tête, une main allant chercher celle à deux pas de tes lèvres. Il est trop proche, trop trop trop proche. Avec la plus grande douceur, ta main vient se poser contre la sienne, sa chaleur ne t'étonne pas, Hoaqin a toujours chaud. T'éloignes un peu plus sa main, entrouvrant la bouche. T'as les pensées florales.

« Je... »  Tu sais pas et tu rends compte que depuis le début tu n'as même pas penser à son gage. T'avais été intéressé que par la satisfaction de gagner et de voir l'appartement putain de propre. A force t'avais l'impression d'être au bled zerma. Tu hésites longuement et y'a une idée qui te vient comme ça.

« Devine. » Tu te relèves et tu le fais marcher, littéralement, ton pouvoir est grave utile en vrai. Kya idk idk il arrive à la cuisine alors que tu le suis de près.

« J'ai faim. Prépare moi quelque chose, c'est ton gage. » Tu sais pas trop si tu dois assumer ou pas mais tu te sens grave con d'un coup. Genre terriblement stupide, genre pourquoi t'as dis ça mec ????? Tu le regardes un instant l'air de rien et tente de refouler difficilement un rougissement parce que bordel de merde t'es grave pathétique en tant qu'uke même kilari est plus virile.


« Fais de pas de remarque, s'il te plait. » C'est moi où t'as la voix qui tremble ? T'es censé être vainqueur pourtant.
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