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Ghost we make || Dreamer

Sunny
Sunny
2016-01-26, 18:39



Il y avait eu les maux. Les douleurs et les peines d'une enfance aux teintes malsaines. Le silence corrosif d'un petit-enfant recroquevillé sur lui-même. Les tracées sur la peau de l'affection malsaine d'un paternel. Les hurlements et la rage acclamant une liberté envolée. Et puis, plus tard, la musique et la concupiscence de l'adolescence débauchée. Tout n'était que lointain et abstrait. Jusqu'à ce qu'elle soit là. Ses pupilles quittant temporairement leurs lignes de conduite, acheminant vers une silhouette familière. Elle est plus grande que dans ses premières perceptions et plus petite que dans la réalité. Et l’idée d’en connaître davantage sur elle naissait en son sein, une étrange déplaisance dans les faits gagnait son thorax, inepte selon lui. Et depuis. Il y avait eu les rires et les sourires. Se laissant aller et venir insaisissable que l’étaient ses envies. Elle avait fragmenté ses désirs, ses peurs, les gouttelettes d’éternité étaient à eux. Qu’il aimait la toucher, se fracassait d’amour pour sa bien-aimée. Caressait les moindres coins de peau, s’engloutir dans ses bras, implorant son corps. Lorsque le silence se faisait désordre dans son esprit, il venait alors entendre son cœur battre, posant sa tête contre sa poitrine, diaphane semblant se briser à l’approche de ses instruments. Il lui semblait alors ressentir de doux bras se déposant tout contre lui. Tout autour de lui, si beau, au parfum exhumant la douceur. On ne souhaiter qu'une vie parfaite à Bellamy, homme sans visage, exemple de réussite, chacun aurait tout donné à Bellamy. Ensemble, ils tâtonnaient dans une direction indéfinie dont le facteur inconnu avait fait trembler celui-ci.

Il se souvenait de ces lourds silences qu'il ne pouvait supporter, de ces endroits sombres qui le faisaient hurler, et de cette voix grave qui résonnait. Il se tenait la tête avec fermeté en priant que cela cesse. Et à chaque fois, elle le serrait tout contre elle, calmant les cauchemars de son enfance en de doux murmures. La véracité de cette présence achève ses souvenirs monstrueux, retenant une nouvelle fois son attention en un boyau de pensées dévalant son for intérieur, emportant sa logique et son raisonnement sur son passage. Des rêves qui étaient là, réalité difforme derrière les sourires, dans la tête de monsieur Bellamy. Pour lui, tout s’emboîtait tout coïncidait, comme des sons, comme des cris comme des lamentations. Comme. Et il s'accrochait à elle.Néanmoins, il n’était pas insensé, elle restait une sorte de baume au sein de l’esprit et du corps pour lui d’avoir la bénédiction d'être là. Autant grever lourdement pour sa propre satisfaction en la voyant rougir encore un peu lorsqu'il la complimentait, et en se lançant dans des baisers qu’il jugeait carabiner. Il la berçait dans de doux rêves lorsque l’éclat maussade perlait aux coins des paupières fragiles. Il y avait eu les étreintes langoureuses sur un canapé en longueur. Il apercevait à chaque fois les fines gouttelettes sur la fenêtre, puis les pensées écrites sur un instrument aux cordes fragilisé, niché sur la table. Et les phalanges arpentaient les courbes amoureuses d'une muse semblant endormie, pour doucement les tendres à son objet de convoitise. Ils avaient tendus sa paume. Mais il avait senti ses doigts à elle, sa belle voix et tout s’était éteint. Errance, perdu entre plaisir discontinue et pourtant si affolant.

Déraison.

Sans cesse. Marie. Il en veut encore. De son pouvoir, il souhaite en voir plus. Et elle, chair condamnée à s'étioler. Et quand bien même il ne connaîtrait pas les joies de s'agrandir, lui s'en accommodait et elle en pleurait. Il y laissait alors la joie, pour faire disparaître la peur. Naquit en lui ce désir de recherche impromptue pour son pouvoir. Capacité qui ne semble déchoir et s'enlise en lui, perfore sa peau. Dreamer naissait dans son propre rêve, mais pour se construire, il faut un essai. Une Muse. Parfaite, si merveilleuse. Il ne pouvait rêver de mieux. Alors chaque jour, il s'exerçait. Et au début, elle en riait. Mais depuis, elle s'en est fané. Et lui, chaque jour, crevait d'envie de recommencer. Il était devenu cet être de chaire soluble, d'une chaire au sang noir, qui ne voyait l'ombre des mots qui s'écoulèrent en d'affreux sanglots de la jeune femme esseulée qui venait de perdre son fiancé. Elle avait compris. Mais comme son bien-aimé était aux anges, elle allait continuer avec l'espoir qu'il comprenne un jour. Le secouant de retrouver la liberté. Et lui qui sanglotait quand elle n'était pas là. Et Marie qui revenait à chaque fois.

Le temps ne s'arrête jamais. Tik, tok. Peu à peu, il se posait quelques questions. Elle ne riait plus, elle ne parlait que peu. Le calme s'était perdu pendant les pleures incessantes qu'elle avait soudainement. Mais ses perles salées le rendent creux lorsqu'elle le fait. Il n'aimait pas la voir pleurer. Alors il l'emprisonnait dans ses bras et la berçait. Elle semblait se calmer et finissait par en rire. Mais ses pupilles n'affichaient plus autant de frénésie qu'avant. Les plaisirs se faisaient rare, les étreintes coulaient. Souvent, il la reprenait quand elle criait. Comme lui le faisait. Merveille blancheur, que lui arrivait-elle ? Elle aussi avait des rêves qui s'échouer sur sa peau, pauvre femme qui ne peut enfanter et qui le désire si souvent. Il avait fini par la garder, croyant qu'un enfant était là. Mais il n'y avait rien. Seulement eux deux. Comme toujours. Et elle sanglotait quand il lui rappelait la réalité. Puis, elle souriait et l'embrassait. Pour noyer sa tristesse, Bellamy s'était muni de sa capacité, essayant de l'aider. Mais c'était l'inverse. Une lente agonie, auquel il ne voyait rien, alors qu'elle s'achevait sous ses yeux, sur lui. Fanant la réalité de ses rêves restant perpétuellement abstraits, jamais atteignables. Simplement, des espoirs morts.

Appréhension.

Les étreintes langoureuses sur le canapé se dissipaient, Bellamy ne comprenait pas. La vie monotone se transformait en plainte quelques fois, une lamentation souvent. Mais il continuait, il n'avait rien d'achever. Sa Muse et sa vie se transformaient. Plus Dreamer l'actionnait et plus elle délirait. Rêve et Réalité. Où se trouvait la limite. Elle qui panser ses blessures, et lui qui taisait ses maux. Ils prenaient soin l'un de l'autre, comme toujours. Comme. Mais il ne savait plus où se trouvait la franchise là où il n'y en avait plus. Et elle avait perdu l'engouement de son travail, restant recroquevillée sur elle-même. Il y voyait à chaque fois atteindre une porte lorsqu'elle lui hurlait dessus, déraisonnable. Et lui ne comprenait pourquoi, criait à son tour et fermer la porte en partant. Et à chaque fois, il revenait. Il ne pouvait vivre sans Marie. Comme Marie ne pouvait vivre sans Bellamy. Âme soeurs. Tout deux perdus. Tantôt l'un sanglotait de souvenirs dévorants, tantôt l'autre d'un désir irréalisable. Mais ils savaient qu'ils avaient besoin l'un de l'autre. Lui qui ne peut supporter le silence, et elle qui ne peut voir son bien-aimé ailleurs.

Et un soir. Rien qu'un soir.

Un de ces soirs de pluie. Un de ces soirs où les corps devraient s'enlacer sur le canapé. Comme une habitude installée depuis une éternité. Un de ces soirs qui avait aussi changé. Un de ces soirs qu'il gardera en mémoire. Parce qu'il avait vu le corps féminin de sa Muse qui avait perdu de sa lumière, de sa clarté. Il avait ouvert la porte d'entrée. Elle avait les bras tendus vers l'infini, le sourire étiré. Il lui avait criait que c'était la Réalité. Elle lui avait clamé que ce n'était qu'un de ses songes pour la rassurer. Il avait hurlé en s'avançant de s'arrêter, les perles salées près à couler et à la supplier. Elle avait eu les yeux vitreux, le sourire aux lèvres et lui avait envoyé un baiser. Il avait couru alerter alors qu'elle se laisser aller. Parce qu'au final, malgré ses tentatives désespérée, elle avait perdu. Elle n'avait réussi à tenir sa promesse, lui l'avait oublié. Elle n'avait réussie à lui en défaire, elle s'était condamnée. Malgré les plaintes et les caresses, elle avait cesser d'espérer.

En vérité, elle avait toujours rêvé de voler.

Et il avait pleuré en s'effondrant sur le balcon, dans ce long silence qu'il détestait tant. Il avait beau recraché son esprit brisé, rongé par la douleur et le vice, dans un monde où le pardon n’était plus qu’une lointaine illusion. Il avait fragmenté son corps, disloqué ses phalanges, anéantit le violon qu'elle aimait tant. La fatalité engendre la peine, révélant des perles cristallines glissant le long de ses joues, chutant sur les extrémités de ses lèvres pleines et mourant sur le tapis tâché de carmin. Douceur exquise révélant avec subtilité la souffrance d’un jeune homme torturé. Elle était partie. Depuis longtemps, bien trop longtemps. Lui ne s'en était pas rendu compte, énamourée de sa capacité. Souhaitant montrer son jardin secret à sa Muse. Il l'avait éreinté, esquintée, déchirée. Quiconque aurait pu tout lui pardonner à Dreamer avec ses airs de repentie, cette extrême rédemption qui lui allait si bien cet air sincère qu'avait Bellamy dans ses paroles et dans ses gestes, dans ses mimiques et dans ses entrailles. Dans ses viscères qui donnaient envie de tout arrêter, qui donnait envie de l'embrasser. Sans se rendre compte de la vérité. Il n'avait rien compris. Et ne comprendra jamais rien.


invasion of the soul



Ce n’est qu’un homme blafard qui ne fait que détruire les rêves, altered se voilant dans les tréfonds de son aisance, récitant des louanges à chacun pour les conduire à la folie des anges. Bel homme aux rêves doucereux au doux prénom de bellamy, ayant aisément dépassé les trente décennies. Guide à l’obscurité, interminable pleure qui résonnes dans un infini calvaire, loin de son pays entouré de mer. Lui, ne voulant ni rédemption, ni bonté sans misérablement la saccager. Anciennement attaché à cette silhouette élancée, désormais évaporée parmi les astres et depuis oubliée. Tragédie intarissable. Ne laissant en lui que fantaisie chimériques et perles salées. Il s’envole alors de-ci de-là, parmi les différents horizons, mais à la course modeste, qui s’insère sur la bordure de la peau. Drapant les autres de désirs amers, portant l'or du gang sud en procurant sourires et rires aux douceurs éternels. Pour oublier l'ombre d'un passé bien réel. Alors il se laisse couler dans les sonorité, lui, musicien éperdu et amant plus que perdu. Mais en simple vérité, dreamer, il se revêt simplement de sa capacité. Lui qui altère la réalité pour le conduire en rêve éveillé.  


Quoi qu’il fasse, on le remarque. Inscrit dans ses yeux et à ses lèvres. Tendre engeance blafard et rester sans doute à un passé désespéré. Une simple couche somptueuse de nacre qui cache une affreuse fêlure. Capacité altérant la réalité. Ce ne sont que des images, des souvenirs. Où un regard se pose et martèle ce qu’il aperçoit, qui occulte toute forme d’intimité, de pudeur ou de candeur. Douce lacération, serpent blanc iridescent. Il ne s’en rend même pas compte. Il ne fait qu’abuser les sentiments, trace d’affection contre preuve d’amour.  Lointain passé qui renaît. Enfance insipide d’un paternel aride, et Bellamy, lui, qui retrace le même chemin. Ce n’est qu’une belle carcasse emporté dans son déclin les lambeaux de la sincérité aux lèvres étirées.  Il ne fait que proclamer à la vertu des uns, à la liberté pour d’autres. Piètre mensonge Bellamy, s’enlisant dans ses propres illusions.  


“ It does not do to dwell on dreams and forget to live. ”

blood on your shirt  

On ne peut compléter bellamy, le décrire, car il n’a jamais réellement été. il est érigé de sa propre barrière. Crinière brune éternellement jonchée de gouttes écarlate à en faire rougir la peau. il ne fait que tracer une immensité abstraite d’un rêve, dreamer. Ce n’est que la pleine solitude qui s’enracine et qui pourtant cherche des bras derrière ses lèvres closes. Si indigeste, labyrinthe d’émotions se tordant dans un macabre cauchemar. Être chaotique à l'exigence impulsive, enfant blafarde aux rêves décharnés, délivrances harassantes plus que bienvenus bercés dans les plaisirs violents, passions ardentes de l’engeance de l’obscurité. Espérance lacérée. Son engouement d’antan de la moindre goutte de sang ne s’est jamais fané, procurant plaisir et dynamisme malsains qui ne sont et ne seront jamais éteints. Entité à la carrure osseuse et aux cheveux baignant dans les eaux noirs, à l'existence désuet.

L’appréhension l’étrangle, cela l’attrape à la gorge et la lui dévore sans pitié, ni compassion. Il pourrait hurler en silence, son corps entier se tendant dans un cri mental, incapable de soutenir la pression, mais aussi de se laisser aller, même seul. Jamais seul. Il faut quelqu'un, une personne, pour pêcher. Fébrile étincelle se permettant de filtrer, Bellamy qui se contente de survivre en cette chaotique existence dont il faisait preuve. Oui, cette situation le taquine, l’agresse, le brûle et l’éreinte. Il percevait cette sensation, cette singulière impression qui venait s’écraser le long de l’échine, des gouttes succombant une à une. Il était là, un corps entier implorant sans conteste sous sa propre blessure. Lui, qui d'ordinaire restait placide. Visage de marbre ne décelant aucune once d'intimité, laissant paraître qu'il avait le contrôle de la situation. Mais ce n’était jamais le cas. La sottise, l’erreur, le péché, la lésine, même si maintenant il maîtrise mieux les éléments, il n’en demeure pas moins emprisonné, encore. A cela s’ajoute des maux murmurés en une douce mélopée. On ne sait jamais avec Dreamer. On se laisse emporté.



Ici Laymes, Pendulum, Yuki aussi. 'Fin le DC de Vishous en fait. C'est Sherlock de BBC. Je suis tellement faible bonjour, surtout avec le drama qui va se faire. J'ai un encadré tellement grand et tellement peu de choses à dire.  

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Anonymous
Invité
Invité
2016-01-26, 19:11
(Dire que j'allais créer un prédef avec Sherlock XDDD T'AURAS UN AVATAR DU COUP /pan)
Bref tu me vends toujours autant de rêve
(J'ai même pas eu à lire l'encadrer irl ; je t'avais reconnu au code)
Amour sur toi ; ça gère <3
(Si tu sais pas où aller vient au sud ou à l'est allé bisous) 83
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Anonymous
Invité
Invité
2016-01-26, 19:42
Arrêtez de faire des dramas dans vos histoires !! Mon kokoro saigne à chaque fois. Well, ce DC est prometteur Vishous ♥
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Cloud
Cloud
2016-01-26, 19:44
(je suis tristesse qu'il s'appelle Bellamy, le boulet que je dois gérer s'appelle comme ça)
T'écris et tu codes bien. Tu dois venir au sud. C'est une obligation, là, on a besoin de beautés comme toi. ♥
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Sunny
Sunny
2016-01-26, 23:46
Vous êtes adorables ♥ J'ai succombé et je viens dans le gang du sud, en ayant retapé l'histoire qui était bordélique et monstrueuse, pardonnez-moi uu Et je pense avoir fini !
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Zephyr
Zephyr
Ghost we make || Dreamer  Tumblr_inline_nr72sgYwNL1txlwvy_500
2016-01-28, 22:17

bienvenue sur daftland !

SHERLOCK ♥♥♥ Et puis cette fiche putain, tu me vends du rêve ! Magnifique DC ♥
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