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Take my hand • Scarface

Viszs
Viszs
2016-01-09, 15:32


Il y a de ces jours propices aux aveux, aux envies, sous une pluie tambourinant contre le pare-brise et dans son cœur. Quelque part dans cette vaste citée à ce moment, un caractère insondable tapotait doucereusement sur son  volant, emporté par une vague musique entraînante, son d’un doux rock. Les ténèbres prenaient peu à peu vit, souhaitant engloutir la ville autant que dans son âme, et seules quelques lumières embrasaient la ville afin de donner un semblant de lumière. En cette fin d’après-midi, le journaliste se devait de rentrer afin d’accueillir une personnalité intriguant. Sûrement pour trouver une pluie de sensation, des mirages d’informations, peut-être une goutte de plus, et certainement pas moins. Il n’avait que les cendres de la lassitude le consumant jour après jour, souhaitant peut être trouvé quelque chose d’inattendu. La réalité des choses éclate aux grands jours après ce phénomène, qui demeure et demeura sous son identité de vicieux. Vivant dans un univers entier qui le dévorait autant qu’il en dévorait les autres. Un écho pop sirupeux se fit soudainement entendre, mais le trajet prit fin, à son soulagement. Il ne souhaitait transformer sa lassitude en agacement.

Recevant un invité, il avait convié Scarface dans l’appartement de travail. Etrange individu que voilà, mais dont Vishous semblait aimer la présence autant que la personnalité. Mise à part l’impulsivité, sans doute. Dans son regard glacé se morfond un sentiment dont il tirera sa révérence pour quelques heures. L’âme aura bon vagabondé en soi aussi longtemps qu’elle est assombrie, son côté lui valant son nom lui inculque alors la quémande de se terrer dans un fond sombre et emprisonné, dont il s’empresse alors d’accomplir, désireux de rester en bon terme avec Scar. Les acheminent jusqu’à l’espace lumineux et spacieux, mais dont le silence assourdissant donnait une sensation de malaise, de ne jamais être à l’abri. Sensation que le Conteur avait précisément écrit au sein même de son environnement, sans que cela ne soit choisi par hasard. Il prit simplement place sur l’un des canapés blancs et s’octroya le droit de travailler quelques heures.

Le journaliste avait demandé à un traiteur de venir, en prenant compte d’apporter plus de desserts qu’il ne le faudrait. Connaissant un minimum les goûts de son hôte. Tout était préparé, et Viszs était toujours assis à la même place, verre à la main. Quand il entendit la porte s’ouvrir. Il n’avait réellement que faire des bonnes manières, respectueuses ou non.  De ce fait, chacun de ses invités entraient sans qu’il n’ait besoin d’y aller, Scarface ne faisait exception à la règle. Mensonge déversait à chacun pour noyer son propre égoïsme en fabulations douteuses. Il ne pouvait aller contre sa véritable nature.

« Fais comme chez toi Scar, ce n’est pas la première fois que tu viens. »

Paroles échappées sans même un regard à son interlocuteur. Apparences trompeuses là où les yeux des uns et des autres perçoivent, réelle identité révélée au sein de son environnement. Là où il reste maître des mots et des paroles.
« Jette un os au chien méchant pour l'empêcher de te mordre.” »





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Anonymous
Invité
Invité
2016-01-25, 03:52
life is a dead end street
The number one rule of thieves is that nothing is too small to steal.
Froid, humidité, il s'empressait. Plus rapide, plus espacé, ses pas se faisant à la hâte alors qu'il courrait dans relâche, sans pause, le moment présent ne lui en donnait aucunement le droit. Dans l'écho des ruelles peinturé d'ombres et de silhouettes allonger par le soleil s'étendant au loin, on pouvait percevoir quelques hommes courant dans une direction, puis une autre. Gauche, droite, sans point précis, grand nombre de personne aurait eu un rire moqueur en les voyant faire tel des poules sans tête, mais ces braves gaillards avaient un but à leurs acrobaties. Leurs mains s'ouvrant, se refermant et attrapant que le vent, la poussière qui se soulevait dans les airs, devant eux se trouvait une bête. Ses pattes s'écrasant au sol, ses griffes claquant comme une symphonie sur le sol alors qu'il prenait davantage de vitesse, le chien, le molosse, la bête arpentant les rues et les moindres coins de cette foutue ville avait dans sa bouche quelques choses. Se l'étant approprier, l'ayant fait sien en le dérobant de quelques membres du Nord ayant comme mission de livrer un message d'une personne à une autre, il était tombé par hasard sur le point du meeting et s'était fait un plaisir de prendre ce qu'il pouvait prendre. Serrant les dents, froissant légèrement le papier d'un blanc parfait, d'une pureté chimique propre au papier d'imprimante, après avoir couru pour une dizaine de minute, il commençait à manquer d'air. Sa gueule voulant s'ouvrir, voulant se libérer de sa poigne pour laisser sa langue pendre dans le vent tel un chien à la fenêtre d'une voiture, la guerre entre sa hâte et son entêtement pris toutefois rapidement prendre fin lorsque l'animal borgne aperçu sa libération, sa perche vers un meilleur monde. Donner par dieu, étant là par pur hasard comme lumière dans le fond des abysses des mers, si on regardait bien, le bas de la clôture de fer se trouvant à quelques mètres de lui était relevé. De quelques centimètres oui, mais juste assez pour que sa forme bestiale passe en dessous. Et bien sûre, alors que ses poursuivants le voyant ralentir, sentant la victoire proche, le goût sucré de la réussite et de l'adrénaline, le jeu du sort leur fit perdre tout l'espoir qu'ils portaient profondément dans leur cour lorsqu'ils virent la bête disparaître de l'autre côté. Et à cet instant, si Mozart avait été de ce monde , il aurait pu composer une de ses merveilles sur le rythmes des jurons que la soirée silencieuse laissa bercer.

Et le temps passa. Un son fort et distinct se faisant entendre au loin, prévenant les mortels que l'heure se faisait de plus en plus avancer, c'est avec l'un de ses propres jurons qu'il continua la chanson alors que l'homme ayant été bête quelques minutes plus tôt finit son action. Repliant le précieux papier, le glissant dans la poche arrière de son jean, le borgne tira sur sa cigarette avant de sortir de la ruelle où il avait trouvé la paix et la non-présence d'autre personne. Jetant un rapide coup d'œil à son portable, voyant qu'il avait quelques minutes de retard, il se remercia lui-même d'avoir couru jusqu'à ce quartier tout à fait par hasard et d'être aussi prêt de son prochain rendez vous. Ne perdant pas de temps avant la formalité de l'entrée principale, ayant eu la chance de la personne sortant au même moment, il ne se passa pas plus de trois minutes avant que sa main n'ouvre la porte de l'appartement de ce cher Vishous. Enfin, il ne vivait pas là, mais l'endroit criait son nom. Regardant autour, observant l'ambiance net et précis qu'il décrivait bien le propriétaire, il pris le temps de se dévêtir de sa veste en cuir et de ses bottes avant de se glisser plus loin dans la demeure.

" Ne me dit pass ce que je doiss ffaire, je le ssaiss déjà. " lui répondit le borgne qui passa tout de suite en cuisine, ayant vite fait de percevoir l'odeur de sucre.



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Viszs
Viszs
2016-01-26, 15:07


Avec ces quelques gerbes de paroles, son interlocuteur venait d’extérioriser son état d’humeur actuelle. Ou peut-être étais-ce une habitude. Le journaliste y glisse alors sur son chemin et distribues l’encre de perles perçantes sur le borgne si féroce et nonchalant qui parvenait à la cuisine. Au départ, un léger haussement des sourcils s’était entreprit après ses paroles énoncées, mais dont le borgne ne pouvait apercevoir. Et puis, les babines de Vishous y ont alors dressés l’esquisse d’un léger sourire railleur, filaments à son encontre, à ce clébard enrobé dans les paroles agressives et de sonorités peu mélodiques. Il y laisse promener son regard sur toutes les coutures, ne souhaitant pas brusquer le chien qui semble bien farouche cette soirée. Ou peut-être un peu alors. Le risque étant une coutume chez le journaliste. L’échine se soulève et se tourne vers son hôte.

« Eh bien, on mord ce soir apparemment. »

Et se glissent alors des pas à l’impétuosité éternelle, ayant déposé au loin des papiers dont lui seul avec le secret, avant de se guider vers la silhouette étendue près des sucreries. En voyant le nombre de garnitures, Viszs s’était dit qu’il en avait peut-être un peu trop prit. Tans pis, cela en fera plus pour le chien enragé et ainsi plus d’informations à récolter. A bon entendeur. Il se glissa près de son interlocuteur, la tignasse se penche et les pupilles s’échoue le temps d’un moment sur son interlocuteur enrobé de mystère à la franchise courageuse et de paroles farouches. Il en profita alors pour subtiliser un petit gâteau destiné à Scarface. Il ne lui en voudra pas, très certainement.
Il invita cependant d’un geste envolé à son hôte de se servir sans se préoccupait de lui, n’étant pas un fin gourmand malheureusement, partant avec tranquillité vers les boissons alcoolisés. Là aussi, il y en avait peut-être un peu trop. De toute les marques et catégories. Impressionnant. Qu’importe, il ne venait ici que rarement. Il se servit un verre sans regarder l’alcool en question, ainsi qu’au chien borgne. Il fit glisser le verre jusqu’aux phalanges de Scar, non sans avoir eu une légère appréhension à l’arrivée, qui se fit sans dommage, heureusement.

« Je ne connais pas tes goûts en desserts et je m’en fous assez je dois dire donc j’ai pris de toute sorte. J’espère que ça te satisfait un minimum, le clébard. »

Tous surnoms provenant des lippes de Vishous étaient affectueux, ou railleur. Mais cela laisser entendre un minimum de respect et d’affection pour oser en recevoir un, aussi insipide soit-il. La pièce était immense, ainsi que le calme qui y régnait, pouvant rendre ce mélange bien dérangeant. Il n’est pas virulent, les boyaux de paroles échappés sont légers et dénués d’un quelconque mauvais ressentis. Il ne fait qu’exposer un brun de sa conscience oh combien calcinée.

« Et si tu me disais ce qui te rend de mauvais poil, l’enragé. »

Les paumes s’avancent et s’accrochent à ce morceau de verre qui paraît si petit entre ses mains et à moitié rempli. Le liquide tournoyant légèrement entre ses mouvements. Le buste quand à lui s’affaisse sur une chaise haute de la cuisine. Ses pupilles observaient simplement l’autre homme rebuté de bien des façons. Il ne lui en voulait pas, tant qu’il aura un minimum ses informations bien entendu. Quand bien même le temps de réponse tardera à venir, il avait bloqué sa soirée et sa patience n’a jamais atteint sa limite.

Paroles échappées sans même un regard à son interlocuteur. Apparences trompeuses là où les yeux des uns et des autres perçoivent, réelle identité révélée au sein de son environnement. Là où il reste maître des mots et des paroles.
« Jette un os au chien méchant pour l'empêcher de te mordre.” »





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Anonymous
Invité
Invité
2016-02-08, 01:57
Bitter & Sweet
When the last thing you need is an after taste

Submerger, coulant et s'étouffant avant de toucher le fond, il expire et inspire. De nouveau, laissant la vague, le plaisant l'envahir, il recommence alors que son visage s'approche d'avantage. Inspirant, plongeant pour la dernière fois, il arriva à son but lorsqu'il finit par ouvrir les yeux devant son paradis. Étaler devant lui, à perte de vue comme un océan d'or et de richesse, les dessert. Parfait, ayant chacun leur personnalité, leur style, leur faveur, il les scanne avec une certaine passion avant que sa main ne suivent ses envies. Le courant électrique passant à vive allure dans son cerveau, il prit l'assiette de profiterole entre ses doigts et prit finalement la peine de lever sa vision vers le propriétaire de l’appartement. Inspirant et soupirant, il le reconnu bien là. Soigner, toujours impeccable avec son veston, sa cravate parfaitement droite et de couleur uni. Ses pantalons bien droit, couper pour que tous soit égale, tout soit pure. Bien qu'il n'avait aucun sentiment vers les perfectionnistes de ce monde, le borgne avait toujours trouvé ironique leur façon d'agir. Comme quoi, tous se dé-balancerait, tous s'écroulerait si une chose n'est pas à sa place. Si leur monde n'était pas aussi sobre et ponctue. Si leur monde n'était pas couvert de luxure et l'alcool. Parlant de ce fameux liquide, il apparu devant lui. Dans une coupe pour notre cher noble, dans un verre pour sa part, le borgne l'observa venir se cogner contre sa main et vaguer d'un bord à l'autre de son récipient.  Fonçant légèrement les sourcils, un goût amer lui tirant la langue, il poussa de son index le verre à quelques centimètres de lui et changea le goût non désirer en prenant une bouché de son royaume. Mâchant, laissant le froid de la crème glacé lui caresser la bouche, il finit avant de reprendre parole.

" Ma ssatissffaction n'esst pass ce qui t'importe, Vvisshouss. "

Lui jeta t-il aussi simplement avant de se déplacer à son tour. Allant prendre un short-cake au fraise, prenant le temps de prendre la plus grosse pointe, il alla s'affaisser ensuite sur l'une des nombreuses chaises de la table et sortit le morceau de papier qu'il avait jadis ranger dans la poche arrière de son jean.

" Et ce qui me rend de ssi mauvvaiss poil esst d'avvoir courut pour ma peau pour avoir ce sstupide bout de papier qui n'avvance en rien ma putain de vie." Siffla t-il avant de faire glisser le papier vers ce cher journaliste. Il aura sûrement un meilleurs jugement sur les informations que lui, le texte écrit sur la feuille blanche parlant d'un meeting important au sein du groupe et des coordonnée de la réunion.





Pardon pour le temps que cela a prit et pour la qualité médiocre. La prochaine sera meilleurs.
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Viszs
Viszs
2016-03-05, 11:58


« Ma ssatissffaction n'esst pass ce qui t'importe, Vvisshouss. »

Hum. Il n’avait sans aucun doute raison et le procureur lui octroyer largement ce droit. Lui faisant grâce d’un regard en biais, les pupilles oublient les caprices du temps et de son interlocuteur et se focalise sur cette lueur éclatante, cette petite feuille blanche avide de sens et de représentations, électrisant la pièce qui subsiste avant d’impacter le reste. C’est cela même qu’il rechercher, le maculant par un enfermement distinctif de ressentis depuis les incendies.

« Et ce qui me rend de ssi mauvvaiss poil esst d'avvoir courut pour ma peau pour avoir ce sstupide bout de papier qui n'avvance en rien ma putain de vie. »

Pauvre petit. Bien qu’il ne s’en occupa même pas. Il déplia le morceau de papier et son mutisme laissa le temps à son invité de laisser ses babines s’affolaient face aux innombrables desserts servis, rien que pour lui seul. Les rétines scrutèrent chaque mot écrit, chaque lettre inscrite pour en percevoir mieux les sens. Il ne savait d’où son compatriote tenait ses informations, mais la vitesse et véracité de ses propos ne pouvaient être que véridique, ainsi Vishous doit-il le prendre. A mi-chemin entre les frasques de pulsions qui l’orne sur tout les pourtours de son corps et l’envie d’en apprendre davantage grondant la surface, il se dresse en lui-même un sang-froid impartial. La tête se redresse doucement et les billes se plantent face à son interlocuteur, babines se creusant en un franc sourire.

« Eh bien, tu m’apportes de bonnes informations. Ca sent la panique chez les chefs de gangs, intéressant. Tu mérites bien une nouvelle tournée. »

Un chien méchant peut être dressé, ainsi la récompense pour une bonne action est de mise. Il est heureux de cette nouvelle et Viszs appel donc pour une deuxième tournée de friandises affriolantes. Il semble se complaire tout deux dans cette situation actuelle. Mais l’échange ne semble être totalement équivalent, les deux hommes en ont conscience. La paume empreinte de nouveau la voie vers son verre, buvant un peu de ce liquide rafraîchissant, avant de le faire tournoyer dans son verre, lentement.

« Ainsi soit-il, après ces informations, tu as bien le droit d’en avoir à ton tour. Les dossiers sont arrivés juste après les incendies. Tu sais très bien que je suis tenu au secret professionnel, n’est-ce pas ? »

Plaisanterie douteuse afin d’allécher davantage les informations. Frustration d’un de ne savoir quant l’autre à obtenu et sait encore plus, sans jamais en révéler plus qu’il ne faudrait. Mais voyant le bon travail accompli, quelques informations lui sont donc permises.

« Mais bon. Dis-moi ce que tu veux savoir exactement, une information à la fois, quand même. »

Beau salaud.
« Jette un os au chien méchant pour l'empêcher de te mordre.” »





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