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Tobias n'avait pas l'habitude d'aller au cinéma. Il bénéficiait aujourd'hui d'une journée libre, et personne ne semblait vouloir de sa compagnie en ce jour de week-end. Il ne comprenait d'ailleurs pas pourquoi, il était pourtant un garçon adorable, pensait-il, partiellement ironique. Alors aujourd'hui c'était cinéma. C'était la seule chose qu'il avait trouvé pour occuper son temps. Après tout il se fichait de ces idiots, s'ils ne savaient pas apprécier sa compagnie, c'était leur problème.
La nuit commençait à peine à tomber, à l'heure des fêtes dans lesquelles il aurait dû se trouver. Mais c'était avec un paquet de chips, un paquet de bonbons, et une bouteille de soda sous le bras que le jeune homme s'amusait à épier les passants dans le hall du cinéma, à la recherche d'un quelconque physique potentiellement intéressant, introuvable.
C'était l'heure d'y aller. Tobias entra dans la salle d'un pas décidé, il n'avait même pas fait attention au film qu'il avait choisi, il verrait bien. Il se dirigea vers le dernier rang, à coup de bousculade et de chaussures piétinées, sans aucune excuse, et s'installa. Il ouvrit finalement son premier paquet de bonbons, non pas sans mal, dans un bruit infernal de papier plastique froissé. Et, malgré les complaintes globales de la sale et le regard tueur de ses voisins de fauteuil, Tobias de se retint pas de faire craquer allègrement ses sucreries entre ses dents.
Il s'était bien équipé pour l'occasion. Il allait bien s'amuser.
Noximilien Longreeves
2015-11-28, 23:20
Putain de soirée
feat. Tobias Perrish
Des cris et des protestations retentissaient déjà dans la salle, je sentais que cette séance allait être chiante, je savais qu'aller au ciné' un samedi soir était une mauvaise idée, y a que des cons en banc et des asociaux.. Mon soda à la main, j'avançais dans la salle noire, espérant encore trouver une place au fond, alors que les annonces publicitaires démarraient en fond sonore. Plus je m'approchais des sièges du milieu, par dépit de ne voir aucun fauteuil libre, plus les protestations s'intensifiaient mêlées au vacarme infernal des emballages qui s'ouvrent et les mâchouillements digne d'une vache. Je finis par jeter un œil ennuyé vers la source de ce fatras et je ne fus qu'à moitié étonné d'apercevoir ce sale gosse de Perrish. Pas que le croiser totalement au hasard dans un cinéma ne me surprenne pas mais je m'attendais déjà plus à la voir dans une salle qui diffusé un film de castagne que dans celle d'un film d'auteur, déjà, donc déjà c'était plutôt plausible comme rencontre. Puis quelqu'un d'aussi irrespectueux et dérangeant, il faut du niveau.
J'observais finalement les places alentours et après avoir fait le tour pour déranger le moins de monde possible, je me posais dans le siège derrière lui, commençant, après m'être délesté de ma canette sur l'accoudoir, par coller une claque à l'arrière du crâne de ce petit branleur. Avec un peu de chance, ça le ferait cracher ses bonbecs au sol, et au moins ça lui apprendrait à faire chier son monde. Le film ne tarda pas à démarrer après que je me sois assis. Je souriais d'avance à l'idée de pouvoir maraver ce petit con au moindre bruit qu'il ferait. Et une chose était sûre, ça se finirait à la sortie.
Il était aux anges, plus ça allait et plus les complaintes se faisaient nombreuses. Il jetait des discret coups d'œil de droite à gauche et voyait déjà les regards désapprobateurs de ses voisins, c'était très bien, qui pouvait intervenir de toute façon, personne n'oserait, pensait-il. Avant que
On venait de lui donner un coup derrière la tête. Il avait sursauté. Il s'était mordu la langue d'un mouvement de mâchoire puissant, sec. Des larmes lui montaient déjà aux yeux sous le coup de la douleur. Un bonbon en profita pour se coincer dans sa gorge et le toussement qu'il lui arracha fut plus bruyant que tout ce qu'il aurait pu faire de son plein gré.
Mort. Il était mort. Fin.
lol:
Ou du moins il avait senti son âme le quitter pendant une fraction de seconde. Une fois son souffle plus ou moins récupéré, il se retourna pour trouver l'abruti qui lui avait fait ça et lui casser la gueule, tel furent les termes qu'il employa –qu'il hurla. Lorsqu'il découvrit l'homme, que dis-je, le monstre qui l'avait châtié de manière si inattendue, la rage du petit fuckboy redoubla. C'était la colère qu'un cadet aurait éprouvé lorsqu'il se faisait battre à son propre jeu par son frère.
Toi. Espèce de...
La lumière fournie par l'écran géant de la salle vacillait, rendait l'image de son opposant fragile et incertaine, irréelle. Pourtant il reconnaissait bel et bien les cheveux ridiculement long de cette vermine, ce scélérat –pour modérer ses propos qui furent en effet beaucoup plus évocateurs.
Tout s'éteignit avant que le jeune homme ne puisse entamer une quelconque action, le héros venait d'entrer dans un bâtiment sombre, la scène d'un crime.
Ca ne faisait que commencer.
Un bruit sourd toujours en provenance du film provoqua le déclic en lui. Tobias s'élançait dans le noir et balançait d'amples mouvements de bras à l'aveugle par-dessus son propre dossier, sans jamais toucher sa cible. Il ne s'arrêtait pas pour autant. Il étirait les bras au maximum, inépuisable, dans l'espoir de finalement parvenir à coller une beigne à celui qu'il détestait tant en ce moment précis. Tel le plus grand des rageux.
Noximilien Longreeves
2015-12-22, 06:11
Putain de soirée
feat. Tobias Perrish
Bordel.. Pourquoi fallait-il que je sois tombé sur cet handicapé, sur tout les films et toutes les soirs de cette semaine, il avait fallu que je choisisse le même que Tobias Perrish. Tobias c'était un peu comme ce petit frère insupportable qu'on protège quand même parce qu'au fond on l'aime bien, mais c'est aussi le petit frère auquel on aime coller des branlées à la moindre stupidité, surtout vu le nombre qu'il en faisait. Je connaissais peu de gosse aussi irritant, c'était presque un dont à ce niveau là. Quand je dit ça, c'est que c'est véridique. La preuve ? Il fit encore plus de bruit en s'étouffant qu'en mâchant ses saloperies de bonbons. Un soupir exaspéré franchit mes lèvres. C'était pas possible un abrutit pareil, merde. Affichant une mine énervée j'observais le crétin qui me faisait désormais face en s'agitant, envoyant ses bras pour tenter d'atteindre ma troche dans la semi-obscurité de la salle. Je m'avançai au bout de son siège, baissant la tête en avant afin de ne pas gêner les spectateurs derrière moi, et aussi pour éviter les coups maladroits du petit empaffé aigri sous mes yeux.. J'attrapai sans mal ses deux poignets fragiles et les serrai suffisamment fort pour qu'il ne puisse plus les bouger, lui jetant un regard intransigeant. Je murmurai en approchant mon visage de sa petite gueule de crétin.
- Toi, tu la ferme, et de suite, on réglera ça dehors si tu veux, mais tu vas pas me gâcher mon film et celui des gens présents. Sinon je te prend sur mes genoux et je te bâillonne comme le sale mioche que tu es.
Ma menace proférée, un coup de tonnerre à l'écran, je ris intérieurement de l'ironie du moment et je toise longuement Tobias avant de le lâcher enfin, et de me recentrer sur le film. Je savais que je n'hésiterais pas à mettre ma menace à exécution s'il osait encore, me gâcher mon plaisir.